lundi 8 novembre 2010

Son soldats en Afghanistan.

Au point où nous en sommes, comment tourner le dos à un processus engagé. Que les objectifs soient hors d'atteintes c'est une chose, mais que l'on mettent fin à tout ce cirque, nos gouvernants ne le pourraient pas.

Voyez-vous, Harper, le leader incontestable canayen, même minoritaire, ne veut pas de ce genre de laxisme. Il a agi ainsi dans d'autre cas, les enfants soldats et moins récemment concernant la torture.

Je n'ai rien d'un géopoliticien, sauf d'observer, entre autres choses, les scènes actives gouvernées par l'OTAN.

Quitter le sol afghan aurait plusieurs conséquences graves. Il m'est difficile de toutes les étaler. Regardons celles entourant l'Irak. Les luttes quasi fratricide s'amorcent et ne se termineront pas tant qu'1 des maîtres ne ressortent du lot. Ce sera un homme fort, style Saddam. Gageons qu'il aura un passeport couleur OTANien, si ça se trouve.

_________________________________________________________________________ _________________________________________________________________________

Parallèlement, les pays arabes ne semblent aucunement s'inspirer des états dit "démocrates". La culture occidentale reste un embûche à tout libéralisme de ces entités souvent musulmanes.

Je termine mon topo par la prolongation de la mission canayenne au-delà du printemps 2011. L'Afghanistan, si on peut le dire naïvement, a besoin d'être reconstruit ; espérons que la présence de l'OTAN favorisera le tout, même si...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire