mardi 23 novembre 2010

Mon corps est à qui ?

Question hasardeuse.

Si je le veux, je fais tout avec. Dégoûté de la vie, de la maladie, du moment présent, qui m'empêche d'en finir ?

La loi ?

Voilà pourquoi je crois à Dieu. C'est pourtant simple. Lui, il ne me veut que du bien.

Du moins, rien que je ne puisses surmonter.

Et que sa volonté soit faite.

Quel Père sensé voudrais du mal à son enfant ?

En reniant ce Père, ou plutôt en le déniant, devant tout ce qui respire, c'est la guigne ?

Laissons place à l'individu, à son égo ?

Et pourquoi non pas à ce qu'il transcende, sa pérennité.

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