dimanche 9 mars 2014

Un mur, une barrière, une muraille ?


On a beau dire, suite aux deux premiers, le numéro trois, three, 3, III, surviendra.  La ligne blanche que l'on distingue sur les Outaouais, changera de couleur.  C'est obligé.  Depuis des lunes, j'y rêvais. Depuis septembre 2012, je la redoute et ce n'est pas par peur.  

Ce gouvernement a esquissé un dessein.  Un, une Charte d'urgence alors qu'il n'y en a aucune.  La priorité pour l'heure est ailleurs, pas dans les émois superficiels.  Second, toutes sortes de distractions camouflant l'incompétence  de ces gestionnaires.

Finalement, le dessein, un deal livre blanc qui fabriquera un consensus minimal, déchirant ; ¨non, on veut un pays coûte que coûte¨.  Les plus riches, je me répète n'ont rien à perdre.  Nous, les plus modestes, ceux qui essaient de rejoindre les deux bouts, vlan !

Revenons à la ligne blanche sans faire peur.  Regardons, les embûches ne signifient pas la peur mais bien du pragmatisme.  L'impatience est mauvaise conseillère et la fierté, un moment d'introspection constructif.  Il ne faut surtout pas d'un porteur de ballon.  Tout le monde le sait, un ballon dégonfle.  

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