dimanche 9 mars 2014

Coalition médiatique.

photo de la Presse

L'arrivée de PKP au Pq, on la voyait venir.  Voici comment : l'appui au Pq en 2012, le trône au CA de  l'Hydro, voilà quelques uns des signes annonciateurs de son engagement actuel.  C'est une grosse prise, quasiment plus grosse que le Pq.

Il dirige plusieurs organisations, qualifié de redoutable.  On ne voit même plus Claude Blanchet. En plus du Pq, il a dans son giron, Quebecor et sa planète, le méga amphithéâtre, président Hydro etc...  Il sera pas là longtemps, j'imagine.   

J'émettais pourtant un certain scepticisme tant qu'à son adhésion au PQ, pour différentes raisons.  Le premier doute demeure le mariage avec l'aile radio-canayenne ou journalistique ; Drainville, Duchêsne, Lisée, Deschêne, Payette, Breton* ...   

Y a pas qu'ça ;  la proximité syndicaloPquiste n'est plus à faire.  Écoutez, la coutume du monde du travail, des négos etc... Qu'on ne viennent pas me dire que les lock-out décrétés par PKP n'ont pas laisser le moindre ulcère. 

Autres choses.  Legault de la CAQ a expliqué la confusion du gestionnaire à succès avec le projet budgétaire de Marceau.  Aussi, qui de Marois et PKP triomphera des futurs décisions en gouvernance.  

Pour le projet référendaire à venir, PKP rassurera une partie de l'électorat.  Entre vous et moi, l'incertitude économique autour d'une valse référendaire n'ébranlera pas les gens riches mais encore la classe moyenne.  À plus forte raison, considérant l'appauvrissement des québécois en général à l'échelle Canayenne.

Pour finir, les stratèges pquistes utilisent tous les subterfuges pour une majorité.   Un gouvernement du Pq que je ne souhaite pas.  Le point de presse réalisé avec la chef Pquiste dans Saint-Jérôme et son crie pour le pays Québec est un hameçon.  La faveur pour le oui est à 40%, elle sera à combien demain. 

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