mardi 25 mars 2014

Politique et mafia...



Jeudi soir, le débat à TVA des chefs politiques Québécois accroîtra ou freinera la tendance du vote.  La venue du messianique PKP aura plutôt désorganisé le gouvernement sortant.  L'ajout du premier débat confirme une débâcle p'quiste ; sauf ici au royaume des bleuets, bien entendu.

Alors, en ce début de printemps, la Belle Province  mériterait mieux.  L'appel aux urnes permettra aux électeurs de faire un choix judicieux.   Vraiment, la population exige autres choses ; se refaire un portefeuille, une économie florissante, en réfutant la question nationale.

Je soulève avec ce billet, des faits inquiétants.  Pour ma part, on ne doit pas replacer au pouvoir le parti libéral de Monsieur Couillard.  À mon avis, c'est un chirurgien qui ne sait plus opérer pour le mieux notre destiné à nous Québécois.

Effectivement, à l'intérieur de ce parti, vous y retrouverez des carriéristes (18). Je n'ai rien contre ce genre de politicien en autant qu'ils et qu'elles se comportent correctement.  Je discute donc l'attitude  de ces politiciens.  Ce parti aurait pu, en 9 ans, terminer sur une meilleur note que ne le révèle la Commission Charbonneau.



Les partisans Libéraux auront beau mentionner des appels à l'intégrité avec l'UAC, l'Opération Marteau et la Commission Charbonneau, durant l'ère Charest, si les gouvernants se ferment les yeux, ce n'est pas très efficaces.  Je pense ici aux candidats Libéraux actuels  attachés à différents ministères. 

Maintenant, la mafia.  Des enquêtes sérieuses révèlent que partout au Canada, qu'une présence  mafieuse puissante est tolérée.  Aucune province n'est excluse de l'analyse.  Ici, au Québec, on le constate aisément, la tolérance à plusieurs niveaux a été reconnue.  Ce n'est pas terminé.   Les mafiosi estiment cette tolérance car c'est la base du fonctionnement mafieux.

Le parti libéral se présente à la 41ème législature avec dans ses rangs cette culture de laisser-aller.  À 21 reprises, ces gens-là auront retardés la reconnaissance de la collusion et de la corruption.  Mais aussi, des économies substantielles au Ministère des Transports, chez Hydro-Québec et dans nos cités.  

Vraiment, on aura plutôt cherché à intimider avec toutes sortes de stratagèmes une député comme Sylvie Roy.  Durant six longs mois, Madame Roy aura été la seule, abandonnée presque à son sort.  Cette dame courageuse est associée à un groupe d'individus qui me rappelle l'élection du 15 novembre 1976.      



  






   


  

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