mercredi 27 octobre 2010

La Grand Messe.

À la lecture d'un article, j'estime important de prendre cette position. Le sujet, bien que délicat, mérite que l'on s'y attarde et voici pourquoi.

Les enfants méritent tout particulièrement notre attention. Il se trouve que certains d'entre eux ont été blessés à jamais. Je comparerai ces atteintes à celles qu'ont subies les jeunes enfants des premières nations dans nos orphelinats.

Les frères de la congrégation de Sainte-Croix ont des responsabilités à l'égard des jeunes qui se sont plaints d'abus de toutes sortes. Je ne peux pas mesurer l'ampleur du problème mais je prie l'Église d'élaborer une réparation.

Oui, collaborer avec les enquêteurs aux différentes plaintes de gestes posés il y a une quarantaine d'années s'imposent. Mais ce n'est guère suffisant.

Un intervenant demande aux organisateurs du rassemblement qui se tiendra au stade Olympique de Montréal, une part des profits. Je trouverais donc pertinent qu'un ou des responsables se penchent sur les séquelles ressenties par ces jeunes. Et pourquoi, ne pas accomplir une démarche de réparation concrète.

Je verrais à travers cette sensibilité un réel achèvement à la hauteur de Saint André Bessette.

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