samedi 4 août 2007

La neuvaine, le film...

Lyn et moi avons regardé ce film québécois. Le choix de Lyn s’oriente souvent sur recommandations amicales. Nous avons apprécié cette histoire et le jeu des comédiens s’est révélé juste et égal, à mon avis.

En abordant le thème de la foi et de l’humanisme, LABRECQUE ose montrer deux itinéraires pas si différents que ça. La souffrance étant ce qu’elle est, les êtres recourent à une ou des guérisons. Même dans la mort, certains prototypes humains réussiront un passage, même en longue agonie, dans un calme relatif que l’on qualifie de serein. Les prières sincères du jeune homme, à la basilique et ailleurs, rencontrent des objectifs précis.

L’espérance portée dans cette histoire, initiée par la grand-mère, identifie vraiment les nuances fragiles de la certitude durable. Guilbault, en survivant à une mort certaine, reprend goût à la vie, mais aussi, à une guérison possible.

1 commentaire:

  1. Salut mononcle, je suis de retour au poste.

    Au plaisir de te lire.

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