dimanche 12 août 2007

...dimanche.

Ce matin, tôt, une marche semi-rapide sur le boulevard de l’Université m’amène à croiser un être mort, bordant le trottoir rougit, déplumé et éviscéré. Puis, un raccourci longeant des orchidées et des tulipes encore mouillés. Un firmament tout bleuciel m’excite le pas. Une brise me caresse le visage d’une veillée grise encore présente. Voici pourquoi ; un souper de pâte en compagnie des sœurs Bonnenfant, Danielle, Claire avec JoeArseno, Renée, Annie et Raymond, son mari, de tante Hélène et oncle Yves, leur fille Vicky allaitant la petite dernière au côté de Marc-André, ensuite ma mère de Saint-Lambert, tante Camille d’Ottawa et tante Monique, la tangueuse dans une sorte d’état de grâce, près de sa fille bien aimée Josée allaitant Fyona. Tous les campagnards saisonniers s’attablent avec nous à l’appel du crieur d’occasion. Bien sûr, ce plat d’occasion sera arrosé de rouge et de parmesan que j’évite aisément. Malgré tout, le bourgogne me suffira pour une saine griserie.

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