dimanche 11 juillet 2010

Voilà, on y est...

C'est par 10 degré C et ciel étoilé, à plus de 17 cents mètres d'altitude que les acteurs principaux du Mondial 2010, nous conduiront vers la conclusion. Les 85 milles spectateurs assisteront tel des "mendiants de beaux jeux" (DR) à ce film à la fois dramatique et inattendu.

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Les Pays-Bas forment une équipe de joueurs hétéroclites. N'empêche, les Robben, Persie, un peu décevant, pourront compter sur le meilleur milieu Wesley Sneijder. En défense, les Oranjes sont solides mais... S'ils ne souhaitent pas un temps de possession important, ils sont cuits.

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J'avoue au départ, je tends "el Roja" comme la majorité des observateurs. Des observateurs plus ou moins avertis, comme moi s'appuient sur un pressentiment, je dirais latin. Les autres diront que les joueurs Espagnols bénéficient de maturité collective et d'une rare cohésion, puisque de nombreux duos sur le terrain jouent déjà en ligue pro.

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Je miserai donc sur la Roja par la marque de 3 à 1.

2 commentaires:

  1. Payer le prix d'une incursion en zone défensive des Oranje. J'aurais espérer un meilleur match et je crois que nous sommes rester sur notre appétit.
    Néanmoins il était temps que ça finisse. Dès le départ, les expert dont Capitaine Caverne les avaient assis là tout en haut sur le trône avec LE trophée.
    J'ai quand même apprécié le spectacle dans l'ensemble. Forlan méritait sa place comme meilleur et Muëller et Gian et Sneijder et Casillas...

    Viva Espania !!!

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  2. Disons que le festival des cartons a brisé le rythme du match. Dans l'ensemble, les Espagnols ont mieux joué mais le match aurait facilement pu aller du côté des Néerlandais.

    Les deux échapées de Robben n'ont pas porté fruit. Sans oublier qu'il aurait facilement pu y avoir un tir de pénalité sur le second. Puyol a délibérément accroché Robben et l'arbitre, pourtant rapide sur la gachette, a laissé passer.

    C'était loin d'être le match le plus excitant du tournoi mais c'était à l'image du jeu espagnol. Pour faire un parralèle, on peut comparer le jeu des Ibères à celui de Coco Lemaire. On contrôle le jeu, on ferme le centre, on reste patient et discipliné et on attend que l'adversaire commette une faute.

    Bravo aux Espagnols. Mon beau-frère doit trouver qu'ils sont pas mal excités...

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