samedi 11 avril 2009

L’union fait la force… "voir la flèche vers le bas"

Un article sur le web m’a conduit à des évidences. Un court historique permettra à ceux que ça intéressent de mieux constater ces évidences. Fin 90, nos agents d’affaire nous proposent de passer de l’International "local 1135" à un syndicat dit local ; le STUQ. Tous, du secteur verre plat, adhérions à ce nouveau chapître proposé par le fondateur, Yves Bourassa. Deux mois plus tard, un agent de la CRT nous visite afin de nous informer de l’invalidité de notre dernière adhésion ; le motif étant que nous n’avions pas payé la somme symbolique de 2$. Notre syndicat dans la semaine qui suivît nous fournissait une nouvelle accréditation le STUIQ. Par la suite, j’ai exigé des rencontres avec l’ensemble des syndiqués du STUQ, sans résultat. De promesses en promesses, j’effectuai des recherches comme nos affiliations avec la FTQ, dont je n’avais eu aucune certitude, même sur le site de la centrale. Puis, ma visite chez mon député, Stéphane Bédard du PQ, afin de l'informer de mes inquiétudes. Réponse de son attaché ; un appel téléphonique avec le représentant régional de la Fédé, Jean Marc Crevier, qui m’a invité à rejoindre le directeur du recrutement de cette centrale, M. Robert Émond. Rejoint, ce responsable m’a dit de vive voix ; non, ça me dit rien. Par la suite, il y a eu toute sorte d’allégation avec notre "Comité de retraite et des avantages sociaux ; comme la tutelle ordonné par le RRQ au Groupe CGAS. La tutelle a dû provenir d’une plainte d’un des syndiqués qui s’inquiétait d’un changement régulier du gestionnaire de notre assurance groupe ; aujourd’hui Johnson et Johnson, avant, Sun Life et quelques autres marques sociales. J’ai demandé en tant que syndiqué d’une union légalement constituée, que les officiers reconnus me fournissent les statuts et règlements, de même que des états financiers, sans résultat. J’avais émis dès l’adhésion avec ce syndicat des doutes et j’ai laissé faire étant donné que nous avions la visite de l’agent d’affaire quasi régulièrement. Notre dernière négo en 2005 venait confirmer que notre président supposé négociait seul malgré la présence de 3 accréditations. Les dés étaient pipés avec l’employeur ; l’augmentation et tout le reste. Cette négo m’indiquait que notre union ne voulait pas créer de vague et éviter même un soupçon de désaccord. Nous ne sommes que dix employés dans notre accréditation, mais pour l’ensemble du STUQ, nous sommes 500 membres et à 11$ par membre la semaine, comptez les sous. Oui, vous pourriez conclure à la lenteur des démarches et voire même une certaine négligence. Vous n’aurez pas tout à fait tort. J’attends la suite de ma dernière démarche avec une impatience certaine… Pour terminer ce billet, j’entendais la chef par intérim de l’ADQ, Mme Côté, réclamer une enquête publique en rapport avec la construction. Ce qui me gêne le plus ; le silence du PQ.

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