samedi 14 septembre 2013

Un labrador dans l'église...

Enfant, j'étais terrorisé à la vue d'un chat. En vieillissant, j'en ai acheté un.
Un jour, j'aperçus un chien dans la nef d'une église.  Du coup, j'ai ressenti un inconfort.  Très vite, j'acceptai ce p'tit compromis puisqu'il était en laisse.  
Jeune, j'étais intimidé par le cartier anglophone de ma paroisse.  Un inconfort s'incrustait en moi jusqu'à ce que je me familiarisai avec l'une d'entre eux.  J'ai eu moins peur à partir de là.
Un nuit d'été à Philadelphie, je me suis égaré.  J'ai eu très peur lorsque je vis un rassemblement.  Je me suis tout de même approché d'eux pour m'informai.  Vite, ils m'ont rassuré.
Lorsque je m'endors la nuit venue avec la peur de perdre, de suite j'interpelle celui qui est au plus profonde de moi, l'Ami.  Peu de temps  s'écoule que je m'endors.
Je n'impose pas ces expériences à quiconque, mais elles peuvent être utile.

  


On peut s'accommoder de presque tout dans nos vies, suffit de refuser la panique et de réfléchir.  La proposition actuelle est gênante mais acceptons d'en discuter.  Je dis gênante car elle revient sempiternellement d'un pouvoir mitigé.    
Ceci dit, évitons le désarroi et la crainte, en préservant notre nation francophone.  À partir de ce point, les valeurs de nos cités, petites ou grandes, s'auront stimulés nos espoirs et nos désirs.
Nos croix irritent certains de nos concitoyens.  Je les invitent à réfléchir sur notre passé, pas si lointain, à ce qu'Il nous suggère.  Non pas à le percevoir comme une fin en soi, mais une valeur inspirante, rien de moins rien de plus.  Va pour une laïcité en souhaitant des athéistes, une ouverture.
Hier, je me suis promené dans le vieux pour insomnie passagère.  J'ai vu ici et là de grand portrait, je n'ai pas eu peur, ils m'ont inspiré. 

   


PS : le généticien Jacquard est décédé cette semaine.  J'aimerais lui rendre un hommage.  Il avouait lui-même, ne pas tout savoir... 

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