Le Québec se laisse bercer par une langue seconde comme si nous rêvassions à une époque, une grande soumission...
Nul comparaison depuis l'élection dans la Belle en 76. Les placards de nos commerces redeviennent ce qu'ils étaient
Montreal become anglaise comme jamais et le frenglish reste le clou d'un cercueil rutilant.
On est rendu à rechercher comme référence pour nos radios d'opinion des unilingues anglais et avec une traduction à la "vlàcommejtepousse" !
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