jeudi 8 octobre 2009

Pédophilie, un crime perfide pour dépravé.

"J’ai pris le pli de payer pour des garçons. Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici. Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. "Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément". On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable. La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas." Frédéric Mitterand

Je voudrais ici corriger certaines personnes. Celles-ci qualifieront les êtres qui commettent des gestes pédophiles de malade mental. Je désignerais ces criminels de pervers. En conséquence, elles devraient subir un traitement à la hauteur de leurs crimes.

La promptitude avec laquelle le ministre de la culture s'est présenté à la défense du cinéaste Polanski, détermine-t-elle son échelle d'irrésistance avouée.

1 commentaire:

  1. La réaction des Français est très très particulière et inquiétante dans le dossier Polanski. On lui accorde l'asile depuis très longtemps...

    On en est aujourd'hui à discourir sur la légitimité de le retourner chez lui 25-30 ans après son crime odieux.

    Ce qui est gênant dans tout ça c'est pourquoi n'a-t-il pas été extradé avant ?

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