samedi 12 juillet 2008

6 jours…

Ces derniers jours, j’aurai tenté moult fois, d’élaborer un thème, une idée pour ce blog amaigri. Je m’essayai sans trouver de filon. Hier soir, j’en possédais un, ma tour noire elle, n’en retenait rien. Alors, je persiste et signe ce billet mûri par une nuitée d’accalmie relative. Ah oui, la veille je faisais allusion à mon boulot, mon casse-croûte. C’est la ruée toujours, un Klondyke apparent dû aux vacances décrÉtats. J’ajoute les Retrouvailles 2008 et tout ce que cela entraîne car le défi demeure intéressant à souhait. Le répit obligé gruge dans la case disponibilité, il faut bien se refaire. En fin de compte, me voilà ce matin avec un filon qui m’obsède depuis des lunes, la mémoire de mes gènes. Ce phénomène, je le considère comme tel, me prédispose à des attitudes faciles. Un exemple, la bonne humeur ou voir le bon côté des évènements. Je n’ai aucun mérite, c’est comme ça. Ce constat m’a été révélé avec une éloquence déconcertante à travers un document traitant des tortues de mer. A mon avis, c’est un phénomène du ressort de la génétique et j’élabore. Lors de l’éclosion des petits de la maman tortue, tous les rejetons sortent du nid, même enfoui sous un mètre de sable, en se dirigeant vers la mer. Ils ont pas bouffé, filé vers le pré le plus près ou bretté dans ce trou tout chaud d’éclosions multiples, non rien de tout ça. Les prédateurs de bébés tortues se paient même le ptits dèje lors de la fuite sur la plage interminable. Tout ceci reste de l’instinctif, on s’entend, mais la génétique renferme tout cela. La beauté des gens, l’artifice qui fait rêver les gens pas gâtés, ça, c’est génotypique. À mon avis, personne ne devrait s’en targuer…

J’y reviendrai…

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