samedi 11 février 2017

Je drague, tu dragues, il ou e.. oups !

Vous le savez, la drague demeure un jeu de séduction.  Sauf que le dragage n'est pas LE moyen idéal car il exige une confiance relative au sujet convoité, sinon une surestime de soi déplacée.  Qu'on se le dise, les stratégies masculines sont tous identifiées ici. Les tactiques douteuses ici  repousseront plus souvent qu'autrement la cible.  Cependant, chacune d'elles peut atteindre un but.




Jeune, j'ai suivi des cours d'hygiène et bienséance.  De nos jours, même l'étiquette comme un simple sourire peut-être mal interprétée.   Une petite galanterie aussi.  J'ouvre parfois des portes aux gens qui me succèdent et il arrive que ce geste de politesse soit perçu comme préjudiciable.

Entendons-nous, ça ne m'empêche pas de persévérer aux multiples gestes de galanterie.  Lorsque je marche sur le trottoir en ville, je marcherai avec mon épouse toujours côté bordure de la rue.  Je valorise ce principe acquis.

Un avocat, dont j'apprécie les remarques, mentionne que les principes du droit naturel sont toujours valides. Pour accuser quelqu'un(E), l'accusateur doit s'identifier et révéler les motifs de l'accusation. Toutes autres accusations sont des calomnies et frivoles.



Au travail, c'est autre chose.  Entre collègue, on doit de nos jours se garder une réserve même au gré de passer pour un sans convenance.  L'égalité quoi ?  Oui, même si pour moi ce terme est inadéquat.

Vous ne le savez peut-être pas, mais je suis un oncle de bientôt 67 ans.  Non, je ne me trouve pas vieux sauf que les Y, me font réaliser que j'en suis.  Lorsque Manon, clame haut et fort, les vieuxmononclecochons, c'est une remarque d'une femme aigri par son passé. Je peux comprendre que tout ça n'est pas drôle.  J'estime que ce climat de suspicion et de méfiance est de mauvaise augure.  Un autre chose, l'auteur de ce texte, le vieil oncle, a un devoir, celui de respecter autrui.

NB : le tumulte que vient de traverser la famille Sklavounos est d'une lourdeur terrifiante. Le DPCP a dit qu'aucun geste criminel n'a été commis.  Bien avant, le député était au pilori, lynché comme un être indigne.  Toutes sortes de calomnies ont circulé à son égard.  Coup donc, la société voudrait-elle son exécution et celle de son épouse coupable de l'épreuve subit.  Qu'elle est été à ces côtés est une marque de respect pour l'humain, l'époux, le père qui traverse un tsunami, pour l'heure, que des calomnies.  

La société voudrait-elle que ce couple soit déchu de l'amour qu'ils éprouvent et pour en finir, qu'ils se flinguent ?  La dignité est valable pour tous malgré nos erreurs, qui est sans erreurs ?  

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