jeudi 18 avril 2013

Le bonheur consommé...

Suite à l'article paru à la mise à jour de radio-can, le lien est ici, je me permets d'élaborer un peu. Sans vouloir justifier notre maire, je crains que l'IRB amplifie un peu l'importance à sa définition du bonheur.

¨Évidemment, l’évaluation que vous faites de votre propre bonheur demeure encore la meilleure et la plus juste, mais en répondant honnêtement aux différentes questions, vous obtiendrez un résultat des plus crédibles, c’est garanti!¨ dixit le fondateur-blogeur d'IRB, Pierre Côté.

Oui, les citoyens de chacune des villes sont tous soumis aux mêmes questions. J'ai donc répondu aux questions. Ma note se situe au-delà de la moyenne selon le site. Devrais-je emménager à Rimouski, mieux, Sainte-Julie, ou alors plus près de mon fils sur l'île métropolitaine ? Jamais, l'indice du bonheur y est une horreur. J'ironise vous n'en doutiez pas.

Plus sérieusement, portez trop d'attention à ces facteurs, c'est excessif. Du même ordre, l'indice de la sécurité ¨des villes canadiennes¨ telle que déclaré par Centre canadien de la statistique juridique. En 2004, Saguenay était la meilleur. J'en connais un qui s'en réjouissait, Jean Tremblay. À mon souvenir, notre maire commentait tout en relativisant son championnat.

Pour les commentaires récents de notre magistrat, qui plaide et je cite ; « depuis que les gens ne croient plus en Dieu, ils croient en toutes sortes de niaiseries comme ça ». Étonné, pas moi, il est comme ça. Tombez dans la détestation pour ça, c'est tout autant excessif.

En y regardant de plus près, admettez que ces rapports sérieux et méthodiques sont futils...





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