samedi 3 septembre 2011

Persichilli ?





Ce vocable ne vous dit pas grand chose n'est-ce-pas ? Celui de Soudas non plus ? Bon, ça commence bien.

Pour aider la compréhension de ce topo, j'enligne les indices.

Un, un persichilli, ça n'a rien d'une sauce italienne aux tomates, encore moins d'un vin sicilien plantureux ou d'une espèce rare d'apiacées. Non pantoutte.

Néanmoins, c'est un mot qui succède à un soudas. Encore ici, ce dernier n'a rien d'une entreprise usant d'aluminothermie non plus, ni d'une huile nauséabonde quelconque.

Bien sûr que non !

Précisément, les deux ont un lien étroit avec le politiquement correct à partir d'Ottawa, la capitale canayenne. Sans détour, les deux répondent ou répondaient au nom du premier ministre Harper. Ainsi, nul doute, Monsieur Harper est un fauteur de trouble, voire partisan du "Quebec bashing".

En admettant que j'erre comme un vulgaire vagabond, alors pourquoi notre premier s'en sert-il ? Sûrement pas pour augmenter sa cote d'amour auprès des francos de la Belle .

Un autre, mieux que moi en parle ici...

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