Question ?
Le réchauffement de la planète, les changements climatiques, gaz à effet de serre, la couche d'ozone et alouette, c'est unanime ou pas.
Non, reprenons le débat à l'envers. A-t-on besoin d'énergie ?
T ben niaiseux, oui.
Topo assez court pour une rétrogradation aussi importante que la ministre française du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l'Énergie.
Voici, à la base, l'Homme (Femme+homme+neutre) a bêtement des besoins. Autrefois, on en avait des spirituels et temporels. Ensuite sont venus les primaires. De nos jours, les listes de besoins sont multiples. Si on y prend attention, ils sont tous pertinents. Prenez la liste de Maslow ajoutez ceux de l'infirmière Virginia Henderson, vous avez le stock qui faut pour devenir moins niaiseux. Bien évidemment, tout ça nécessite des ressources énergétiques. Même qu'on fait des guerres pour ça.
Bon, si on écoute les écolos comme Delphine, l'énergie non-renouvelable est à proscrire. J'entendais le physicien Hubert Reeves dire sur le sujet, "être progressivement remplacé par des énergies renouvelables". Je l'ai aussi entendu dire «le nucléaire, c'est pour les anges !»
Alors, le monde politique d'ici comme ailleurs, c'est les extrêmes. Les PQuistes sont des réchauffistes et les Conservateurs des pollueurs à haute densité. Aucun débat possible ? Il semble que non.
Je veux bien limiter mon empreinte écologique à 4 terrains de 100 m sur 100 m, ça vous va Monsieur Guilbault, mais devenir végé, non merci. Reynald Du Berger peut ben crier au loup, mais du gaz ça pu ; lui le premier n'accepterait pas de foreuse dans sa cour.
La polarisation de ce débat surpasse de bp celui du transport par train au-travers cités et villages, à 100 km heure. Essayons tout de même d'être comme société et citoyens, coresponsable devant l'avenir, celle de nos enfants que nous aimons, avant l'abandon.
PS : « c'est le tournant de la rigueur qui ne dit pas son nom » dixit Delphine Batho point final
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