lundi 15 juillet 2013

Attica Blues d'Archie Shepp ?

Non, ça ne jouait pas à la radio en 1972. Ben non. Pi ?

Voici comment c'est passé ma découverte. J'ai 22 ans j'vous rappel. J'ouvre tout bonnement une revue musique anglo. Mon attention se porte aussitôt sur une pochette, celle que j'ai placé là. Puis, je zieute les black-panthers gantés noirs avec de l'or au cou des olympiades. Je lis la critique sans vraiment tout saisir mais capté par l'image de ce Attica Blues, j'achète à l'aveugle.


Je reçois deux ou trois semaines plus tard le vinyle. Je le place sur ma table avec une joie certaine. Première plage, le rythme est fou et black, les violons en sourdine et les cuivres s'entremêlent, ça explose. Je poursuit ma curiosité d'enfant, voilà Steam (1), une voix langoureuse, celle de Shepp, comme le soprano en violon, complainte soutenue, sans explication et direct.

Je la laisse là, l'oeuvre pour votre sensibilité estivale et chaude.



Je me souviens, j'avais déjà bloguer sur celle qui me touchait le plus Quiet Dawn et le ptit de Shepp ;



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