Ce Suédois établissait au siècle dernier une unité de mesure pratique et déterminante. Ce professeur se penche d'abord sur les doses absorbées suite à des éruptions volcaniques. Sievert déterminera un champ de mesure d'une (1) dose absorbée par l'unité "sievert".
Les spécialistes pourraient vous parlez de l'unité gray, un semblable de l'unité sievert. Ils n'auront pas tout à fait tort, sauf que la nuance est importante pour la fin de ce billet. Laissons-là les formules complexes (1 Sv = 1 J·kg-1 = 1 m2·s-2) aux plus férus que je place ici. Attardons-nous aux effets environnementales suite à des incidents nucléaires.
Notons que nous, tous autant que nous sommes, nous absorbons donc toutes sortes de matières plus ou moins dangereuses. Pour un, le soleil avec ces rayons invisibles émet des ultraviolets et des infrarouges. Le temps d'absorption devient pertinent lorsqu'on s'étend sur les sables chauds. De même, les crèmes protectrices viennent protéger la peau des chauds rayons ionisants.
Nous absorbons aussi bonne an mal an d'autres rayonnements porteurs d'onde électromagnétiques mesurables. Les rayons X, les ondes radios, les gammas et d'autres éléments liés à nos pratiques quotidiennes. En exemple, les travailleurs qui s'exposent à ces ondes bénéficient de toutes sortes de protection relative à ces temps d'exposition.
Ces jours-ci, nous entendons souvent la mesure sievert. Grâce à l'évènement dans le Pacifique Nippon, tous nous devrions s'y attarder. On nous dit que chaque jour nous sommes exposés à des rayonnements. Depuis 2006, trois modes d'exposition radioactif sont reconnus ; avec contact, sans contacts et ingestion.
Tout ceci est ardu j'en conviens. Certains auront tendance à estimer largement la filière nucléaire. Moi, je leur propose d'en chercher une autre. Jusqu'à présent, je vous parle d'énergie utile mais qu'en est-il des déchets nucléaires qui dans le temps, ont longues vies.
Oui, des incidents peuvent survenir. On peut les multiplier par le nombre de réacteurs existants et ceux en construction sur le globe. Avons-nous le choix ? Je prétends que oui, en admettant que le développement économique a des limites. Que nos décideurs devraient se soumettre à une coordination mondiale liée à l'avenir des générations qui portent la vie.
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