Khadr
le rapatrier ? il était temps, selon moi.
les plus riches
la rétroactivité promulguée pour pallier à l'abolition de la taxe santé ne fait pas la job. l'enveloppe souhaitée d'un milliard, même garnie par les mieux nantis, risque fort de décevoir à la réception.
décision
en politique, décider pour le citoyen va de soi. ce, en autant qu'on respecte le portrait démocratique. un comportement contraire usurpe le citoyen. je verrais bien la formation d'un gouvernement d'élus consentants. un cabinet ministériel formé par une coalition large, proportionnel.
ligne de parti.
avant le parti, les citoyens.
israël ou l'iran ?
mon gouvernement propose d'entrer en conflit avec l'iran. l'état iranien de 77 millions d'habitants gère sa souveraineté. on peut ne pas être d'accord avec les dirigeants, même proposer autres choses. Pi ? il ne faudrait pas croire que l'état israélien est sans faille itou.
la corruption
la commission charbonneau devient lentement un document d'introspection. qui peut dire au québec : " je suis vierge ! " totalement viargette ! (comme disait oncle jocelyn.) voilà, je dis qu'il existe dans les faits, une corruption pour puissants et une autre pour les petites gens.
discrétion primaire
la juge charbonneau demande au média de la discrétion à l'égard des témoins. comme éviter l'annonce à venir d'un témoin. radio-canada est passé maître à ce chapitre. tva aussi. un peu d'intelligence journalistique quand même.
NB : ce montage photo à partir d'Anse de Roche ce mardi.
samedi 29 septembre 2012
dimanche 23 septembre 2012
L'entrée en scène du trésorier Chicoutimien.
Les PQuistes minoritaires gouvernent la Belle avec une certaine arrogance. Je dis ça simplement et avec une grogne citoyenne. Pour preuve de l'arrogance ; la lancée de décisions et de prises de positions insensées. Remarquez, qu'elle n'est pas meilleure en casserole.
Prenez l'abolition de la hausse des droits de scolarité, avant même le forum. On aurait pu promulguer une suspension des frais, même pas. De plus, la bonification des prêts et bourses, accordée par le gouvernement Charest pendant le conflit est reconduit par les PQuistes.
Le moratoire intégral sur les gaz de schistes et ce pendant l'évaluation du Comité environnementale stratégique sur le gaz de schiste. Elle pourrait attendre la fin de l'évaluation. Plus, les Verts au gouvernement ? On peux-tu se garder une tite gêne ? Breton et Ouellet tirent partout, même sur Gentilly 2.
L'improvisation de ce gouvernement confirme son incompétence en matière d'économie. En écoutant le ministre du Conseil du Trésor, on le réalise vraiment. Il ne connaît pas les chiffres des annonces PQuistes et c'est aussi là, l'arrogance.
Je veux bien me situer centre-gauche. D'ailleurs on s'entend pour dire que le verdict du 4 septembre situe la gouvernance bien plus au centre, même centre-droite. Certains observateurs dont Coiteux avisent notre gouvernement actuel d'examiner le portrait global avant de préconiser une course à gauche démesurée.
NB : la marche du 22 septembre des carrés rouges fixe l'agenda de Pierre Duchêsne, notre jeune retraité.
jeudi 20 septembre 2012
Mauvais goût, méchancetés et provocations.
Comme les provocations ignobles visant Mahomet, les élucubrations à CJAD d'un " Richard Bain" sont de mauvais goût et alimentent la haine et les intolérances.
C'est alors, qu'on voudra s'approprier tous les droits et toutes les libertés. Peut-on permettre, légitimement, à un Bain, même par ricochet, de faire la loi et par lui, d'étendre les aversions politiques, la menace et l'intimidation ?
Pourquoi, en revenant aux religieux, légitimer la moquerie du religieux et ainsi, provoquer la haine entre croyants et incroyants ?
Dites-moi. Au nom de quoi, de qui, pourrions-nous avaliser ces actions, somme toute, aussi inutiles que grossières ?
mercredi 19 septembre 2012
Génial ce vieux Dylan !
Bob Dylan aura eu toutes les musiques dans le sang.
Tempest affiche la grandeur du personnage.
mardi 18 septembre 2012
Disons que je suis un fan du ...
J'aime le hockey.
Un fan du Canadien ?
Non ! Je n'en suis pas un. Du hockey junior oui, mais des pros, non. Je m'explique.
J'ai assisté à deux matchs des Glorieux ; un, à l'ancien Forum (1971) et un autre, au Bell (2010). Éblouis encore, je me souviens du premier. Un don de Gaston (Pepsi). C'était contre les Hawks avec Bobby Hull. Score final, 1 à 1.
L'autre, un show hors glace contre Toronto, perdu 5 à 2. Cadeau du Fond de Solidarité de la FTQ. Mon fils Yannick m'accompagnait.
Alors, disons que j'en suis un, je veux dire, un fan, un vrai. Je me serais démené plus que ça. Oui, je les regarde à la TV, mais bien moins depuis l'ère Gainey (2003). Regardez, je ne m'affiche pas au gilet Habs "bleublancrouge". Un vrai fan a une équipe, ses couleurs, une tuque, un pyjama genre.
Mais, disons que j'en suis un. Je suis en colère de voir des rivaux avec la même couleur de gilet, se confronter. J'imagine un éleveur bouder ses vaches. Ça ni queue ni tête hein ? Molson contre Cole, ou Price, c'est louche non ?
Moi, je veux voir les gars de mon équipe à leur place. Bergevin et Therrien qui mènent, et les autres, tel un bataillon au fond, tous pour les Glorieux. C'est là ma déception. Là j'observe tous les déserteurs de la cause "HOCKEY" faire mer et monde pour porter des patins pour du fric. Des mercenaires ? Oui !
Moi, le fan, je le suis inconditionnellement ou presque. Je les défends contre vents et marées. Eux, ils me disent : " Heille bonhomme, tu fais quoi là, le clown ! On est pas le Père Noël ! Nous c'est le fric ! Après, même pas toi."
Parenthèse : l'arrivée de Bergevin, un ancien Sags, a rehaussé mon intérêt. Malheureusement pour lui ou pour moi, l'arrêt des activités m'impose un regard critique. Je n'aime pas qu'on utilise des termes impropres à la situation. Un lock-out ? Allons, c'est un bris de contrat entre des pigistes et des producteurs de show. Vouloir assimiler les activités sportives professionnelles à ceux du travail ordinaire, c'est pas correct. Je les referme.
L'éleveur de mon équipe, c'est Molson. Son cheptel ? C'est l'organisation à fric que j'observe aux guichets ; la bière à fric, les toustous déguisés, la revue, la malbouffe avec ketchupmoutarde, la pub blingbling, ses droits de télé, etc... Son troupeau, j'en suis comme tous les fans du "bleublancrouge".
Les joueurs ? Des pis de vaches ! De vaches trop grasses pour donner du lait 2%.
Un fan du Canadien ?
Non ! Je n'en suis pas un. Du hockey junior oui, mais des pros, non. Je m'explique.
J'ai assisté à deux matchs des Glorieux ; un, à l'ancien Forum (1971) et un autre, au Bell (2010). Éblouis encore, je me souviens du premier. Un don de Gaston (Pepsi). C'était contre les Hawks avec Bobby Hull. Score final, 1 à 1.
L'autre, un show hors glace contre Toronto, perdu 5 à 2. Cadeau du Fond de Solidarité de la FTQ. Mon fils Yannick m'accompagnait.
Alors, disons que j'en suis un, je veux dire, un fan, un vrai. Je me serais démené plus que ça. Oui, je les regarde à la TV, mais bien moins depuis l'ère Gainey (2003). Regardez, je ne m'affiche pas au gilet Habs "bleublancrouge". Un vrai fan a une équipe, ses couleurs, une tuque, un pyjama genre.
Mais, disons que j'en suis un. Je suis en colère de voir des rivaux avec la même couleur de gilet, se confronter. J'imagine un éleveur bouder ses vaches. Ça ni queue ni tête hein ? Molson contre Cole, ou Price, c'est louche non ?
Moi, je veux voir les gars de mon équipe à leur place. Bergevin et Therrien qui mènent, et les autres, tel un bataillon au fond, tous pour les Glorieux. C'est là ma déception. Là j'observe tous les déserteurs de la cause "HOCKEY" faire mer et monde pour porter des patins pour du fric. Des mercenaires ? Oui !
Moi, le fan, je le suis inconditionnellement ou presque. Je les défends contre vents et marées. Eux, ils me disent : " Heille bonhomme, tu fais quoi là, le clown ! On est pas le Père Noël ! Nous c'est le fric ! Après, même pas toi."
Parenthèse : l'arrivée de Bergevin, un ancien Sags, a rehaussé mon intérêt. Malheureusement pour lui ou pour moi, l'arrêt des activités m'impose un regard critique. Je n'aime pas qu'on utilise des termes impropres à la situation. Un lock-out ? Allons, c'est un bris de contrat entre des pigistes et des producteurs de show. Vouloir assimiler les activités sportives professionnelles à ceux du travail ordinaire, c'est pas correct. Je les referme.
L'éleveur de mon équipe, c'est Molson. Son cheptel ? C'est l'organisation à fric que j'observe aux guichets ; la bière à fric, les toustous déguisés, la revue, la malbouffe avec ketchupmoutarde, la pub blingbling, ses droits de télé, etc... Son troupeau, j'en suis comme tous les fans du "bleublancrouge".
Les joueurs ? Des pis de vaches ! De vaches trop grasses pour donner du lait 2%.
lundi 17 septembre 2012
Le sionisme à l'avant-scène.
Le sionisme possède toutes les ressources pour tourner ce type de navet provocateur ; "L'innocence des musulmans". De plus, quoi de mieux que "You Tube" comme grand écran ? Une centaine d'émeutiers suffit à déclencher les hostilités meurtrières.
Admettons-le et posons la question ? À qui paie le crime ? Aux Mulsulmans ?
Produire un film, dont les acteurs nient toute responsabilité, à ce point provocateur, ne vise qu'une chose, l'embrasement quasi anarchique des états islamiques.
Oui, cette production antireligieuse ne vise qu'une chose ; attiser la colère des Islamistes. La première réaction arrive de Libye, à l'ambassade Américaine de Benghazi.
L'ambassadeur Christopher Stevens et trois autres Américains ont perdu la vie le 11 septembre dernier. La grogne Américaine n'a pas tardé. Le contraire aurait été étonnant pendant la présidentielle étasunienne 2012.
Presque seul, Benoit XVI interpelle la voie de la sagesse. Il invite les différents courants religieux à se distancier du fondamentalisme religieux afin de calmer le jeu. Madame Clinton faisait le même appel précédemment.
Tous les observateurs politiques vous le diront ; Israël se sent isolée à la table de l'ONU lorsque la question Iranienne est soulevée. L'arme nucléaire Iranien menace la sécurité du territoire Israëlien.
Qu'aurait à gagner une attaque Iranienne contre les Israéliens ? Ce serait, à mon avis, suicidaire. Israël possèderait l'arme maudit et explicitement, recevrait l'accord de ses alliés. Deux poids, deux mesures favorisant à mettre l'huile sur le feu.
Pour finir et drôle de parallèle ; le Canada, en procédant dès la semaine dernière à la fermeture d'ambassades, apporterait-il un avant-goût machiavélique à notre monde ? Oui, après l'Iran, notre ministre ferme temporairement les ambassades du Canada en Libye, en Égypte et au Soudan. Le Canal de Suez a toujours été stratégique...
Admettons-le et posons la question ? À qui paie le crime ? Aux Mulsulmans ?
Produire un film, dont les acteurs nient toute responsabilité, à ce point provocateur, ne vise qu'une chose, l'embrasement quasi anarchique des états islamiques.
Oui, cette production antireligieuse ne vise qu'une chose ; attiser la colère des Islamistes. La première réaction arrive de Libye, à l'ambassade Américaine de Benghazi.
L'ambassadeur Christopher Stevens et trois autres Américains ont perdu la vie le 11 septembre dernier. La grogne Américaine n'a pas tardé. Le contraire aurait été étonnant pendant la présidentielle étasunienne 2012.
Presque seul, Benoit XVI interpelle la voie de la sagesse. Il invite les différents courants religieux à se distancier du fondamentalisme religieux afin de calmer le jeu. Madame Clinton faisait le même appel précédemment.
Tous les observateurs politiques vous le diront ; Israël se sent isolée à la table de l'ONU lorsque la question Iranienne est soulevée. L'arme nucléaire Iranien menace la sécurité du territoire Israëlien.
Qu'aurait à gagner une attaque Iranienne contre les Israéliens ? Ce serait, à mon avis, suicidaire. Israël possèderait l'arme maudit et explicitement, recevrait l'accord de ses alliés. Deux poids, deux mesures favorisant à mettre l'huile sur le feu.
Pour finir et drôle de parallèle ; le Canada, en procédant dès la semaine dernière à la fermeture d'ambassades, apporterait-il un avant-goût machiavélique à notre monde ? Oui, après l'Iran, notre ministre ferme temporairement les ambassades du Canada en Libye, en Égypte et au Soudan. Le Canal de Suez a toujours été stratégique...
dimanche 16 septembre 2012
Fin de semaine de hockey !
Alors, la Douce et moi, on s'est payé un périple familial hockey. Remarquez que le seul Bleu sur les glaces, le 4. Premier coups de patins de James, hier à Val-Bélair et ce matin, à la base de Val-Cartier.
Maman et Papa épiait le jeune, en réchauffant la petite.
Mémé et Pépé savourait ce bon moment.
vendredi 14 septembre 2012
Les antis ...
Josh Freed appartient à la communauté anglo Montréalaise. La dernière campagne, selon lui, n'a pas plu à sa gang. La crainte de voir les PQuistes trônés avec une majorité, l'horripilait. En scrutant quelques circonscriptions, on comprend vite qu'ils n'étaient pas les seuls antisouverainistes.
Un, le taux au finish, place l'option de la Souveraineté, là où elle est réellement ; autour de 35%.
Alors, avant d'ostraciser les anglos, soyons bons joueurs. On ne peut tout de même pas concocter un pays franchement provincial sans l'adhésion de ceux qu'on ignorerait par entêtement.
Maintenant, regardons ensemble la prestation de Lucien Bouchard aux Francs-Tireurs, que je qualifierai de remise à niveau. J'ai beaucoup aimé son avis en ce qui concerne la rue, la générosité de la gauche et les richesses naturelles...
mardi 11 septembre 2012
Exigez une commission sur les évènements ? Bof !
Ce matin, je me suis dit, en longeant le fleuve sur la 138 ;
« tiens ! j'vas écouter Médium Large. »
Préavis : Je n'écoute plus cette émission. Depuis son arrivée avec Madame, Catherine Perrin j'veux dire, je suis pas capabe. Aucun débat, non, le consensus des biens pensants.
Une preuve ?
La dame débute un segment d'émission en nous faisant entendre un extrait de Marion Cotillard(MC). Autour du divan à psy, trois complices, du même côté du divan, qui traitent des complotparanos. Aucune allusion à ce que dit le clip d'MC. Bien non.
Non. Sauf de l'intellectualisation d'intellos.
NB / au cas où le monde libre l'ignorait, je leur rappellerai qu'un autre prisonnier de Guantanamo est décédé. Le 9ème. Lui aussi, sans procès et détenu depuis plus de 10 ans.
dimanche 9 septembre 2012
Dérive armée... /2
Clef en main ?
Les vieux partis, onze millions, plus les médias en renfort. Fait remarquable ; avez-vous vu beaucoup de vedettes aux côtés du clan Legault ?
Je sais, je sais, normal, d'éprouver de l'amitié pour des amis, un voisin, un collègue...
Quand même, 73 députés ou 58% des électeurs ont appuyé les partis d'opposition.
Que Bovet, qu'un Roy en éprouve pour Drainville, à plus forte raison, pour Pierre Duchêsne, je comprends...
Les résultats revus et corrigés démontrent hors de tout doute que le troisième parti, la CAQ, finit second dans la majorité des comtés. Les analystes émettent des opinions diverses en préconisant la proportionnelle. Moi, je me calmerais le pompon sur la formule de notre système. Je le répète, la commission Charbonneau pourrait conduire à un autre constat. Le spectre du cynisme a sûrement contribué au succès de la CAQ.
La perspective d'une désaffection radicale Libérale demeure, patientons. On a qu'à regarder le déclin des Libéraux fédéraux pour mieux comprendre à la fois la trêve de la juge Charbonneau et le déclenchement du processus électoral de 2012. À cette égard, les PQuistes et la première ministre de la Belle ne sont certes pas à l'abri de turbulences, droite gauche, gauche droite.
L'abolition de la hausse des frais, fallait s'y attendre rapidement. Le forum sur les études supérieurs viendra lui aussi, rapidement. Je le souhaitais mais la réalité financière risque de nous rattraper. Ajoutez le gel des frais de garde, les futurs négos avec les employés de l'état, les hausses d'Hydro reportées, le ralentissement de l'économie, les déficits, la dette, alouette !
Le dépôt du budget en mars, si le gouvernement minoritaire se rend-là, déterminera la survie de ce gouvernement. En fin de compte, on est tous pour la vertu, bien qu'un moment donné il faut bien retomber sur le plancher des vaches.
La classe moyenne prouve par ses multiples contributions sa volonté d'assister le régime. Dans le déséquilibre fiscal, je ne suis pas sûr de son alliance.
Pauline Marois transgresse déjà quelques balises d'une saine gouvernance. Osera-t-elle franchir d'autres barrières qui repousseraient encore plus loin le redressement de la Belle. Verrons-nous se creuser l'écart avec nos voisins ou bien, l'axe d'un changement obligé ? La lutte à l'inégalité provoquer par les grandes centrales syndicales entêtées, isolés de leurs bases ouvrières ?
La question nationale, quoi qu'en pense les Lisée, Drainville et autres irréalistes, déjà trop nombreux, doit être remise à plus tard. L'ère de ces tumultes, même consolant, bousculerait inutilement la stabilité sociale et un gouvernement accommodant.
2/
Les vieux partis, onze millions, plus les médias en renfort. Fait remarquable ; avez-vous vu beaucoup de vedettes aux côtés du clan Legault ?
Je sais, je sais, normal, d'éprouver de l'amitié pour des amis, un voisin, un collègue...
Quand même, 73 députés ou 58% des électeurs ont appuyé les partis d'opposition.
Que Bovet, qu'un Roy en éprouve pour Drainville, à plus forte raison, pour Pierre Duchêsne, je comprends...
Les résultats revus et corrigés démontrent hors de tout doute que le troisième parti, la CAQ, finit second dans la majorité des comtés. Les analystes émettent des opinions diverses en préconisant la proportionnelle. Moi, je me calmerais le pompon sur la formule de notre système. Je le répète, la commission Charbonneau pourrait conduire à un autre constat. Le spectre du cynisme a sûrement contribué au succès de la CAQ.
La perspective d'une désaffection radicale Libérale demeure, patientons. On a qu'à regarder le déclin des Libéraux fédéraux pour mieux comprendre à la fois la trêve de la juge Charbonneau et le déclenchement du processus électoral de 2012. À cette égard, les PQuistes et la première ministre de la Belle ne sont certes pas à l'abri de turbulences, droite gauche, gauche droite.
L'abolition de la hausse des frais, fallait s'y attendre rapidement. Le forum sur les études supérieurs viendra lui aussi, rapidement. Je le souhaitais mais la réalité financière risque de nous rattraper. Ajoutez le gel des frais de garde, les futurs négos avec les employés de l'état, les hausses d'Hydro reportées, le ralentissement de l'économie, les déficits, la dette, alouette !
Le dépôt du budget en mars, si le gouvernement minoritaire se rend-là, déterminera la survie de ce gouvernement. En fin de compte, on est tous pour la vertu, bien qu'un moment donné il faut bien retomber sur le plancher des vaches.
La classe moyenne prouve par ses multiples contributions sa volonté d'assister le régime. Dans le déséquilibre fiscal, je ne suis pas sûr de son alliance.
Pauline Marois transgresse déjà quelques balises d'une saine gouvernance. Osera-t-elle franchir d'autres barrières qui repousseraient encore plus loin le redressement de la Belle. Verrons-nous se creuser l'écart avec nos voisins ou bien, l'axe d'un changement obligé ? La lutte à l'inégalité provoquer par les grandes centrales syndicales entêtées, isolés de leurs bases ouvrières ?
La question nationale, quoi qu'en pense les Lisée, Drainville et autres irréalistes, déjà trop nombreux, doit être remise à plus tard. L'ère de ces tumultes, même consolant, bousculerait inutilement la stabilité sociale et un gouvernement accommodant.
2/
samedi 8 septembre 2012
La CLASSÉ ?
Le conflit étudiant est terminé, selon la FEUQ et la FECQ.
En sommes-ns à la gratuité ?
Merde, Pauline. On a eu 58,27% pour une hausse.
Je sais, ton carré...
En sommes-ns à la gratuité ?
Merde, Pauline. On a eu 58,27% pour une hausse.
Je sais, ton carré...
La dérive armée et autres constats. 1/
Le portrait historique de la Belle, à plusieurs points de vue, se présente tel qu'il est, ardu. Aujourd'hui, me revoici devant ma société, une société démocratiquement divisée, entre des priorités partisanes et autres considérations structurelles et pécuniaires.
Tous, tard mardi, on aura hérité de la mort d'un technicien. Un autre technicien, qu'on a tendance à oublier, a été atteint grièvement. Si Blanchette et Courage ne s'étaient interposés, nul ne sait l'étendue de cette dérive armée. Ce Richard Henry Bain, que l'on dit sympa, s'est livré à l'irréparable par l'arrière du Métropolis.
Les médicaments prescrits à l'homme armé, lui auront tout de même permis de garder en sa possession tout un arsenal. Le gars possède une vingtaine d'armes, tous enregistrées, sauf une. J'y vois là un laxisme évident.
«Au même titre qu'un permis de conduire, si tu n'es plus apte à conduire ton auto, ton médecin peut te le faire enlever, si le médecin dit que tu n'es plus apte à avoir des armes à feu...» Tiré du témoignage d'un psy.
Ceci dit, j'écoutais Louis Lemieux, à RDI, cuisiner un responsable de la SQ. Je n'ai rien contre LL de radio-canada, mais on est ailleurs. On se retrouve tout à coup près de l'autre, Le Négociateur. Franchement, les stratèges de la SQ a à répondre de la tragédie de ce mardi au Métropolis.
L'une des dérives commence par le choix de la date des élections. Écoutez, la Commission Charbonneau recommence le 17 septembre, à un mois de son premier anniversaire. Cette commission aura assisté à un stratagème qu'elle doit scruter "les élections clefs en main". On peut aussi s'interroger sur la trêve de 88 jours (illustrer ci-haut).
Clef en main : le travail au noir n'est pas autorisé, on sait ça. Mais quand même, croyez-vous vraiment que tous les militants et partisans soient des bénévoles et les salariés, tous rémunérés selon la loi des normes du travail ? Avec une bonne organisation de campagne, les partis peuvent mettre sur pied des stratagèmes et entre autre, faire sortir le vote. Elle peut même faire voter des morts...
/1
Tous, tard mardi, on aura hérité de la mort d'un technicien. Un autre technicien, qu'on a tendance à oublier, a été atteint grièvement. Si Blanchette et Courage ne s'étaient interposés, nul ne sait l'étendue de cette dérive armée. Ce Richard Henry Bain, que l'on dit sympa, s'est livré à l'irréparable par l'arrière du Métropolis.
Les médicaments prescrits à l'homme armé, lui auront tout de même permis de garder en sa possession tout un arsenal. Le gars possède une vingtaine d'armes, tous enregistrées, sauf une. J'y vois là un laxisme évident.
«Au même titre qu'un permis de conduire, si tu n'es plus apte à conduire ton auto, ton médecin peut te le faire enlever, si le médecin dit que tu n'es plus apte à avoir des armes à feu...» Tiré du témoignage d'un psy.
Ceci dit, j'écoutais Louis Lemieux, à RDI, cuisiner un responsable de la SQ. Je n'ai rien contre LL de radio-canada, mais on est ailleurs. On se retrouve tout à coup près de l'autre, Le Négociateur. Franchement, les stratèges de la SQ a à répondre de la tragédie de ce mardi au Métropolis.
L'une des dérives commence par le choix de la date des élections. Écoutez, la Commission Charbonneau recommence le 17 septembre, à un mois de son premier anniversaire. Cette commission aura assisté à un stratagème qu'elle doit scruter "les élections clefs en main". On peut aussi s'interroger sur la trêve de 88 jours (illustrer ci-haut).
Clef en main : le travail au noir n'est pas autorisé, on sait ça. Mais quand même, croyez-vous vraiment que tous les militants et partisans soient des bénévoles et les salariés, tous rémunérés selon la loi des normes du travail ? Avec une bonne organisation de campagne, les partis peuvent mettre sur pied des stratagèmes et entre autre, faire sortir le vote. Elle peut même faire voter des morts...
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mardi 4 septembre 2012
Une voie ferroviaire...
Autrefois, les élections se limitaient à la bipartite, telle une voie ferrée. Les tempêtes électorales survenaient des bleus, soient des rouges. C'était ainsi dans les cités et villages d'antan. De plus, les médias intimidaient peu et les paparazzis alors, ailleurs. Chacun possédait son analyse politique, ses analystes de service. Même les politiciens assimilaient relativement bien les aléas électoraux.
Tout ça, rien à voir avec 2012. Aujourd'hui ? Une période électorale provinciale, c'est un grand boulevard à 6 voies, aux grandes heures de pointe bouchonnées, sous des intempéries incessantes et la hâte ponctuelle. Certains roulent bien, à tour de rôle, des ratés.
Ce dernier 35 jours ne me fait pas mentir, on en conviendra. Tous les candidats, les chefs spécialement, méritent notre respect. Tous possèdent une bonne santé et un courage indéniable ; sans cela, terminé.
Lorsque les bus aux couleurs des partis prennent la route, c'est au quart de tour. Néanmoins, le trajet planifié comporte des surprises ; bosses, trous, virages et au terminus, des microphones indiscrets si ce n'est des silences évocateurs.
Là, les derniers milles. Le sprint des organisations sérieuses, faire sortir le vote, maintenant. N'oublions pas les pointages de tout un chacun. Tous le disent que ce sera serré et ce, dans plusieurs comtés ; une quarantaine...
Allez voter merde !
Tout ça, rien à voir avec 2012. Aujourd'hui ? Une période électorale provinciale, c'est un grand boulevard à 6 voies, aux grandes heures de pointe bouchonnées, sous des intempéries incessantes et la hâte ponctuelle. Certains roulent bien, à tour de rôle, des ratés.
Ce dernier 35 jours ne me fait pas mentir, on en conviendra. Tous les candidats, les chefs spécialement, méritent notre respect. Tous possèdent une bonne santé et un courage indéniable ; sans cela, terminé.
Lorsque les bus aux couleurs des partis prennent la route, c'est au quart de tour. Néanmoins, le trajet planifié comporte des surprises ; bosses, trous, virages et au terminus, des microphones indiscrets si ce n'est des silences évocateurs.
Là, les derniers milles. Le sprint des organisations sérieuses, faire sortir le vote, maintenant. N'oublions pas les pointages de tout un chacun. Tous le disent que ce sera serré et ce, dans plusieurs comtés ; une quarantaine...
Allez voter merde !
lundi 3 septembre 2012
- 24 heures !
Enfin, demain soir, à cette heure, j'espère un résultat majoritaire. À mon humble avis, cette élection marquera l'histoire.
Tout ça me rappelle l'enjeu électoral de 1976. L'élection du Parti Québécois, sous René Lévesque, avait provoqué un remue-ménage extraordinaire. Dès les lendemain de ce choix, des bureaux chefs ont fait leurs valises et laissés derrière eux, un peuple français en devenir, plus fier que la veille, déterminé et courageux.
Demain, je verrais bien le parti de la coalition prendre les commandes. Comme en 1976. Les motifs ne manquent pas.
Un ; la corruption et la désinvolture ont atteint des niveaux révoltants. Les nombreuses contestations improvisées le démontrent.
Deux ; les constats récurrents en santé et en éducation révèlent une telle bureaucratie, que seul un virage radical conduira à des résultats. Après l'avoir fabriqué, les technocrates, bien rémunérés d'ailleurs, obstruent toutes améliorations potentielles.
Trois ; l'économie chancelante nous réserve des surprises désagréables. On ne doit pas toujours reportés les coûts de nos progrès sociaux vers l'avant. Sans changement véritable, l'appauvrissement de la classe moyenne risque fort de bousculer certaines de nos structures, je le répète, trop gourmande.
Quatre ; on peut, dans ces circonstances fragiles, porter toutes nos énergies vers la gouvernance. Ensuite, privilégié un statu quo d'une province canadienne menacée de l'intérieur.
J'ai hâte de me rendre aux urnes. De ce fait, j'accomplirai l'un des gestes les plus signifiants de notre démocratie.
Que la démocratie l'emporte...
Disons que je suis...
Disons que je suis Marc Fortier. Je transigerais au plus offrant Gibson à la condition de ne pas le retrouver dans notre division. Je n'ai pas d'alternative intéressante concernant notre gardien.
J'échangerai donc l'un de mes défenseurs. Soit O'Brien ou alors Mathieu Gagnon d'ici peu. J'aime bien le plus gros des deux. Il donne du caractère à notre équipe. Oui, le plus petit se qualifierait partout dans la ligue.
Voilà, j'échangerai donc Mathieu Gagnon...
Les centrales syndicales.
J'invite tous les citoyens à prendre connaissance du document en trois épisodes, intitulé Le "Vrai syndicalisme". Les trois totalisent moins d'une demi-heure.
Les trois montrent René Lévesque en 1965 alors ministre des richesses naturelles. L'orateur Libéral explique ici l'incontournable avenue du syndicalisme et des grandes centrales.
Ceci dit, les grandes centrales sont devenues, quarante années plus tard, des organismes puissants. Pour exemple ; la centrale FTQ regroupe 600000 travailleurs, la CSN, 300000 et la CSQ, 193000, pour ne mentionner que celles-là. Toutes doivent se soumettre aux Code du travail Québécois.
Ces regroupements voient à la défense des travailleurs grâce à leurs permanences. Devenues riches, ces acteurs importants captent l'attention et dictent leurs façons de voir par leurs présidents. Ce sont des acteurs politiques directes. Maintenant, un scrutateur indépendant pourrait avoir le droit d'étudier chacun des organismes syndicaux, même les états financiers.
Pour leur objectivité, les discours de chacun doivent être analysés à la pièce. Sans consultation de leurs bases, trop souvent, les centrales imposeront leurs voix en leurs noms. Les revendications sociales, les appuis directes et leurs positions sur l'échiquier politique méritent qu'on s'y attarde.
Cependant, il reviendra aux élus, le gouvernement proprement dit, à départager les problématiques en les balisant. Lui seule détient les rennes du pouvoir. Comme Lévesque le dit, l'exagération doit être balisé. Dans sa gouverne, les élus protègent à la fois la société et les organisations ouvrières.
Les trois montrent René Lévesque en 1965 alors ministre des richesses naturelles. L'orateur Libéral explique ici l'incontournable avenue du syndicalisme et des grandes centrales.
Ceci dit, les grandes centrales sont devenues, quarante années plus tard, des organismes puissants. Pour exemple ; la centrale FTQ regroupe 600000 travailleurs, la CSN, 300000 et la CSQ, 193000, pour ne mentionner que celles-là. Toutes doivent se soumettre aux Code du travail Québécois.
Ces regroupements voient à la défense des travailleurs grâce à leurs permanences. Devenues riches, ces acteurs importants captent l'attention et dictent leurs façons de voir par leurs présidents. Ce sont des acteurs politiques directes. Maintenant, un scrutateur indépendant pourrait avoir le droit d'étudier chacun des organismes syndicaux, même les états financiers.
Pour leur objectivité, les discours de chacun doivent être analysés à la pièce. Sans consultation de leurs bases, trop souvent, les centrales imposeront leurs voix en leurs noms. Les revendications sociales, les appuis directes et leurs positions sur l'échiquier politique méritent qu'on s'y attarde.
Cependant, il reviendra aux élus, le gouvernement proprement dit, à départager les problématiques en les balisant. Lui seule détient les rennes du pouvoir. Comme Lévesque le dit, l'exagération doit être balisé. Dans sa gouverne, les élus protègent à la fois la société et les organisations ouvrières.
Démocratie directe et autres considérations.
Ce document permet de faire l'évaluation du conflit étudiant 2012. On évoquera ici abondamment le vocable "démocratie". Aussi, les intervenants nuanceront même ce système politique avec le terme "directe". Voilà, grosso-modo, ce conflit est devenu un conflit dit de démocratie directe. Initialement, les étudiants ont arboré un carré rouge comme symbole de leur lutte.
Avant de poursuivre, nous devons prendre en compte la gestion actuelle par le gouvernement Libérale en place. Ce constat s'impose puisque le "printemps-érable" expose toute une population à ce conflit. On aura constaté que les 22 (22 mai) de chaque mois, un mouvement plus large amplifie la contestation étudiante.
Je ne m'empêcherai pas ici de préciser un excès de langage. Un, les étudiants contestataires ne sont pas des salariés. La clientèle estudiantine est plutôt, de façon contractuel, bénéficiaire d'une entente ; elle paye individuellement une somme X pour recevoir un enseignement.
Les bénéficiaires désireux de mettre un terme à l'entente convenu, peuvent le faire. Cependant, ils devront se soumettre aux conséquences de leur décision. L'autre contractuel principal assigne des lieux, des matières et des rôles. Ce n'est pas une administration démocratique.
Ce boycott, qui n'a rien d'une grève, ne pourrait nuire aux services éducatifs des autres étudiants. Ce boycott ne devrait donc pas s'étendre à l'ensemble, à moins que chacun et chacune s'en abstiennent. Les autres étudiants désireux de poursuivre leur enseignement n'ont rien à voir dans le boycott de leurs confrères.
Malgré le fait que chaque étudiants s'affilient à une association, celle-ci ne saurait se substituer à l'entente contractuelle entre l'institution et l'étudiant. Cette association peut toujours prendre position, revendiquer certaines droits sans plus. Je maintiens, elle ne peut remettre en question l'institution qui respecte l'intégrale de l'entente. Elle pourra toujours suggérer auprès des autorités une opinion, là est sa limite.
La judiciarisation de ce conflit impose un dictat, car l'association outrepasse sa juridiction. De fait, en s'appropriant l'institution, elle usurpe en droit et
se disqualifie d'elle-même. Les autres acteurs, en encourageant l'imbroglio, ne font qu'ajouter à la complexité du droit, pourtant simple, l'enseignement.
Il est sain qu'un groupe d'étudiants manifestent sa vision de l'enseignement. Cependant, cette interpellation politique ne doit pas se faire sur le dos des étudiants. Le politique offre un cadre de discussion. Aux étudiants de se faire entendre de toutes les façons sans interdire la vocation des institutions.
Je termine ce billet en rappelant aux lecteurs que les nouveaux élus auront à rétablir la situation. L'objectif premier devra être de rencontrer les étudiants afin de préciser l'impropriété des termes. Et au plutôt sera le mieux. Tant qu'aux concerts de casseroles, laissons au gouvernement élu le temps d'établir la gouverne et à toutes les institutions d'agir.
samedi 1 septembre 2012
Mesquin, le PQuiste Lisée....
Lisée s'invite à une noce et s'habille plus riche que le marié.
Oui, son ticket prouve une préméditation malencontreuse. En se mesurant avec l'orateur invité Legault, sur sa scène, Lisée érige une mesquinerie.
Chez-lui, on dit que c'est une coutume. Anecdotiquement, Lisée s'est livré au même manque de générosité avec G-H Germain.
Lisée peut bien dans ses rêves idéaliser son existence parlementaire, qu'il se fasse élire au PQ ou ailleurs, ensuite on verra.
À part la gueule et le verbe que devient-il ?
Anticipation ou précipitation ?
Un million de citoyens ( 16% )de la Belle se sont déjà commis.
Combien d'entre eux, se sont-ils commis trop vite ?
Lorsque la participation totale s'élève à environ six millions, ce vote par anticipation est précipité...
Au départ, la recherche d'une plus grande souplesse accordait un privilège aux citoyens accaparés ; l'anticipation. On ne parle plus d'une dizaine de milliers, de quelques milliers...
Gentilly II
Du nucléaire, j'en sais peu de chose.
Un physicien dit un jour ; " le nucléaire, c'est pour les anges..."
À moins que nos décideurs en sachent plus sur ces déchets permanents, je ne vois pas l'utilité de poursuivre cette production, somme toute négative ici, chez la Belle.
Je dis ça des autres Belles ; le Japon dans sa course à la productivité a élevé tant de centrale nucléaire menaçant toute l'humanité, pourrions-nous s'en offusquer ?
Regardez l'Europe, effarant non ?
La vie à deux, two, dos, du, 2, II......
La vie à deux, c'est une sorte de marathon, genre 42,195m. Un marathon exigeant, éprouvant et euphorique par ses émerveillements.
On peut l'arrêter à tout moment, ou, le rompre.
Lorsqu'on le court, deux sur la ligne de départ, l'effervescence et l'intensité fustigent n'importe quoi ; nulle embûche. Nous l'apprenons tous.
Que de biens procurent cet état !
Perso, j'ai longtemps recherché cette sollicitude quasi universelle. Cette sécurité émotive habitant les êtres ordinaires.
Pourtant, le danger qui dépasse tout dans un marathon, la lassitude et la routine. Porter attention à l'autre marathonien c'est une similitude marathonienne. J'essaie encore de l'intégrer dans mes intentions premières, en me levant dès le matin.
Je termine ici ce dilemme...
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