Plusieurs de mes connaissances m'avouent directement que mes réflexions spontanées sur la fin de ma vie se présentent trop souvent. En effet, la biologie du corps humain se modifie et s'achemine jusqu'à sa fin. Un Être disait un jour que l'impermanence est un fait.
Oui, je l'avoue, j'aborde souvent et aisément le propos de ma mort. Je ne veux pas me refuser, ni mettre derrière moi, ces instants privilégiés de réflexions. Au fait, la fin de ma vie n'est pas un ennemi ou un mal à propos ou bien un tabou illusoire. Non, c'est un moment irrémédiable.
J'écoute la science global (SG) évoquer les fins de notre temps à tous. Bien qu'elle soit en constante évolution, la science peut, grâce à son savoir global, aborder le sujet et expliquer les différents phénomènes de nos mortalités. Je fais allusion ici au biologiste Richard Béliveau. Écoutez son entrevue avec Villedieu.
La SG détient un éventail d'explication. Bien que la SG est la capacité d'expliquer un tas de phénomènes électriques à l'intérieur de notre boîte crânienne, dans un avenir proche, ces explications ne tiendront plus. Plus exactement, elles évolueront.
La SG explique bien ce qui se produit lorsqu'un individu est en amour. Elle sait et élabore toutes les ramifications de neurones sollicitées. C'est intéressant. Elle ne dit pas cependant pourquoi il en est ainsi. Ça, ce n'est pas son objectif. Plutôt, elle laissera d'autres sciences se manifester en négligeant l'aspect théologique de la fin des vies.À la lumière de mes acquis, modeste bien sûr, je sais pourquoi tout ça. La vie, la mort la beauté des choses et leurs laideurs. Un Être a prêté à l'Homme sa grandeur infini qui explique tout. Il l'a d'ailleurs révélé à plusieurs. La vie, la mort la beauté des choses et leurs laideurs. Il a même prêté sa vie afin de porter espoir à l'humanité.
Cette Être nous a aussi révélé venir sur terre pour les petits.