L’être Humain possède des qualités et des faiblesses indéniables. De même, il cultive et défend ce qu’il juge essentiel, sinon, le ridicule l’habite. Il ne peut tout autant changer totalement, comme pour se défaire d’un vêtement. Lorsqu’il vaque à ses occupations, il ne peut non plus invoquer qu’il se prend pour un autre, en permanence du moins. Pour survivre, il devra tôt ou tard, devenir ce qu’il est vraiment et l’assumer. Le plus ardu risque cependant de se faire reconnaître et de se faire accepter, surtout.
Ces temps-ci, les accommodements font la manchette. À plus forte raison, s’ils sont source d’outrages et d’exceptions raciales. Les immigrants se retrouvent au centre de bien des malentendus provoquer par des coutumes bien légitimes. Les objets religieux offensent le plus facilement; du crucifix aux kirpans, en passant par les voiles partiels ou non et les heures de prières. Certaines communautés souhaitent même, si ce n’est déjà fait, détenir leurs propres tribunaux parallèles pour les litiges familiaux, économiques et que sais-je encore.
À tout cela, nous ne devons pas omettre les droits ancestraux des premières nations qui font l’objet de négociations encore et encore. Leurs nombreuses revendications soulèvent des décennies, pour ne pas dire des siècles, d’exploitations indues. L’état de plusieurs de ces communautés autochtones démontre un sous-développement bête et étonnant. La visite de réserves indiennes, comme on les appelle encore, apporterait un éclairage aux gens ignorants l’état de ces sociétés.
La situation de la femme, même version améliorée, exige de chacun de nous toute notre attention. Que ce soit au travail ou ailleurs, ces personnes se retrouvent souvent aux prises avec des litiges inconcevables et inhumains. Bien qu’elles ne s’entraident pas suffisamment, des femmes subissent des affres inacceptables. Je pense aussi aux jeunes mères, d’autant qu’elles sont seules, au manque de support et d‘accommodement de nos sociétés organisées.Jusqu’à maintenant, les Québécois se sont dotés d’outils de développements et de mesure de protection. Ces accommodements, devenues lourdes parfois, auront été essentiels pour son développement. Les laissés de côtés par négligence ou autrement, n’aideraient personne. De même, toutes ces avenues définissent en parti l’histoire Québécoise. Cette culture évolue, mais notre société ne devra laisser derrière elle ce qui la caractérise. La religion chrétienne comme la langue contribuent, malgré leurs tares évidentes, à notre épanouissement individuel.
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