La conférence de Durban offre aux environnementeux dit politique "de tout acabit" la négoce.
« Que faire pour limiter les conséquences de nos empreintes écologiques ? »
Bien que la classe scientifique ne forme pas un bloc unanime à l'égard du réchauffement climatique. Le débat est clos depuis 1997. Cette année-là, le protocole de Kyoto précisait divers décisions affectant du même coup, la culture économique des pays engagés.
Les climato-alarmistes, dont les Groupe d'experts intergouvernemental "GIEC", forment un bloc +++ ou - solide. Néanmoins, une vaste propagande des GIEC façonne ainsi un public favorable large et, avec eux, certains médias peu enclin à fouiller les controverses.
L'économie de ces organismes environnementaux, comme celle des ONGs dans le tiersmondisme, subsistent grâce aux dollars du public en grande partie.
Ici, il est question d'implication financière et industrielle long terme de chacun des signataires dont le Canada. Par son comportement, le gouvernement canadien renie les promesses des décideurs précédents. Il s'alliera plutôt aux états récalcitrants comme les USA, la Chine et l'Inde pour ne nommer que ceux-là.
Au finale, le Canada recevra le prix de fossoyeur par excellence du "Protocole de Kyoto".
G. Bloom s'attaque à l'arnaque du réchauffement... par kevinz1985
Reynald Duberger "sismologue" propose un débat afin de revoir ce qu'est le réchauffement climatique réel. Des données scientifiques récentes parlent de cycles climatiques. Voilà, il cible plutôt un front commun des pays développés afin d'assurer une eau potable à tous les humains du globe. Pour lui, ça, c'est prioritaire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire