jeudi 1 juillet 2010

Monseigneur Marc Ouellet promu.

La vocation de Monseigneur Ouellet n'a rien à voir avec un chef d'entreprises quelconques, petites, moyennes ou grandes. Les médias d'ici parle de cette promotion comme celle d'un vice-président. Alors laissons cette mutation de côté pour l'instant.

À mon humble avis, le Québec vient de perdre un porte parole important, autant par sa présence que par ses prises de position. Ceux qui le critiquent ont souvent peu d'éloquence. Ils ont le droit de le faire et pour Monseigneur, il ne s'en est jamais plaint. Personne ne pourra lui reprocher, même en appartenant à une quantité négligeable, son franc parlé et sa rectitude.

Vaut-il mieux taire ses certitudes que de les étaler aux grands jours ? Lorsqu'il est question de la vie d'un être vivant, je n'en ai aucun doute. Récemment, des spécialistes s'interrogeaient toujours aux sujets des douleurs perçues par le foetus avant la 25ème semaine. Comme si...

Est-il plus simple de ramener les populations au bon sens et à l'esprit des textes que de nier ses égarements ? Même si l'Église s'est tu en d'autres circonstances, inacceptables j'en conviens, le Prélat du Québec doit révéler son message.

Comme catho, j'admets que certains avis ecclésiales me frustrent et sont trop restrictives. Néanmoins, j'aime bien le savoir et en conscience, m'amender. Au fait, son autorité interpelle, elle n'oblige pas.

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