En France, les députés ont débuté la lecture d'un projet de loi concernant le voile intégral. On parle ici de "interdiction totale".
D'ici, n'omettons pas ces particularités tous nuancées. Un, le hijab permet à celle qui le porte d'être isoler à la vue, en public. Plus délicatement de se dérober à la vue des étrangers ou ères. Dans certains pays, on dira, un kichali (aux Comores), tudung (en Malaysie) ou ibadou (au Sénégal). Tout dépendant du bled, je veux dire des us et coutumes, la dame doit cacher un, les cheveux. Ensuite, soit, elle cache le bas du visage, tout le visage, tout le corps, on dira alors burka, mais pas partout. Le niqab, c'est autre chose, il laisse les yeux de la dame apparaître. Le tchador est pour le pays où les femmes le portent par tradition, juste l'Iran urbain. Il est plus sympathique et laisse apparaître le visage. Ceux qui diront que c'est ni plus ni moins qu'un hijab, ils mettent dans le mille.
Tenons compte tout de même des préceptes ; les 3 versets prescrivant ce vêtement diffèrent d'interprétation dépendant que le théologien soit hibadites, chiites, sunnites, soufiste, salafiste, kharidjiste, achariste, druzes ou encore ibadiste. Ces courants peuvent aussi s'entre-croisés comme une pelote de laine défilante au bord de la mer en vue d'un tricot avec broches ou alors un crochet, tout dépendant, ah-pi-merde !
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