Monsieur Harper, après une visite chez Madame Yes, reporte à plus tard ce qui mérite d’être fait, à grand frais. Avant d’y aller, il a sûrement évalué avec ses conseillers les pours et les contres.
Parenthèses béates ; le parlement reste peu importe ce qu’en pense le pouvoir actuel, un lieu de débat nécessaire et l'exercice de la législature. De vouloir l’éviter ou le retarder, c’est une voie anti-démocratique. De même, de taire tous les travaux des commissions, c’est de la gaspille notoire et plus notoire, de l’anti-tout. Parenthèses closes.
Monsieur Ignatieff aura beau clamer, réclamer et se trainer sur le parvis de tous les parlements du monde, il demeure complice de cette prorogation. L’État minoritaire d’aujourd’hui pourrait être renversé.
Qu’attend-il ? Un sondage lui étant favorable ? Venant de l'ouest canayen, impossible !
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