Demain lundi, le 25 janvier 2010, nous assisterons de loin à la conférence des pays impliqués dans le sauvetage et la reconstruction d'Haïti. Jusqu'à maintenant, la distribution des denrées semble éprouver certaines difficultés. À certains endroits, on note des omissions ou des interventions ciblés pour le petit écran, trop souvent.
Revenons à cette conférence où américains et français tenteront d'éclaircir un malentendu. Kouchner et Hillary seront là, mais pas Charest ou son délégué. Lawrence Cannon présidera cette rencontre au côté du Premier ministre Bellerive. On s'entend que l'Honorable ne tient pas à un dérapage comme à Copenhagen. Peut-il vraiment éviter tout ce qui se passera en coulisse, j'en doute. D'autres pays, une douzaine au total se présenteront à la table des urgences d'hier et de demain ; la reconstruction et toute la gouvernance de cet état face au chaos. Cette réunion se veut en même temps en préparation pour un plus grand rendez-vous.
La communauté internationale achemine tous les efforts conjugués. La diaspora consolide les différentes actions ne serait-ce que par leur présence. Celle d'ici, la Montréalaise Haïtienne, est la plus imposante au Canada. Pour une meilleure rencontre, on aurait dû accepter une présence régionale.
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