Nos dirigeants en santé n'ont pas à se surprendre des résultats.
L'afflux aux portes des différentes cliniques à vaccin étaient prévisible. Les spécialistes en santé ont allumé un feu, alors ne vous étonnez pas des affluences aux entrées lustrées de nos cliniques.
La crainte kébékoise du ministère de la santé remonte au sondage estivale tant qu'au vaccin. Le public, 75% environ, disait ne pas croire au vaccin et ce pour plusieurs raison.
Les contradictions tant qu'à l'approche stratégique des décideurs pour la vaccination. (avec ou sans adjuvant)
La responsabilité suivant la vaccination. (1er octobre)
La rapidité avec laquelle les pharmaceutiques ont créée le vaccin.
Bref, pour bien des motifs, aussi discutables les uns que les autres, les autorités voyaient venir la période vaccinale comme un échec. Alors on en a mis pour tout le monde en prétendant l'urgence grippale. Un mort ici et un autre là, oups une dame de 87 ans trépasse, etcetera, etcetera. Ce faisant, en sachant que les vaccins n'étaient pas disponibles.
J'ai même entendu notre spécialiste militant, M. Barrette, viser un analyste en le traitant de meurtrier. Heille ont se calme. Si vous ne percevez là les motifs d'un désordre appréhendé, questionnez-vous ?
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