En regardant, comment dire, s’écraser le nez gris Russe, j’aurais opté pour une autre compagnie de voyage. Le cylindrique rouge aussi me semblait archaïque comme lieu transitoire.
Cependant, rendons à ce César du Cirque, qu’il ne tombe pas dans la banalité ; qu’il a du pif.
Tout ce qu’il fait, ce qu’il dit, tombe à pile sur la cible. La goutte d’eau, celle qu’il avale en apesanteur, c’est magistrale il me semble. Était-ce de l’urine ? On s’en tape, c’est du concret.
Guy Laliberté, à 50 ans et sa fortune, se permettra bien d’autres joujoux. Dites-vous qu’ils seront souvent judicieux et planétaire. Le 23 octobre, les Moscovites recevront le moderne Cirque.
Je trouve un peu "spécial" que Guy Laliberté tente de trouver une caution morale à son petit trip de milliardaire. Au lieu de nous cirer les tympans avec sa soudaine passion pour l'eau, pourquoi n'assume-t-il pas son trip ? Le jupon dépasse. Il couvre même les talons...
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