Cette semaine, j’ai relevé des cas subtils. Le premier arrive, attendez que je me souvienne, samedi dernier. Le second jeudi en soirée et l’autre, vendredi en journée et j’ai nommé ; l’affaire Polanski, l’affaire Lettermen et la pub entourant les élections municipales.
Le viol d’une jeune fille de 13 ans, après l’avoir drogué et saoulé, même en remontant trente ans en arrière, est toujours aussi odieux et punissable. "La vraie histoire parle de sodomie." Voilà qu’une salve culturelle se dresse aussitôt, même le ministre Français, Mitterand. Pour sa défense, l’épouse de RP appuyé par le milieu cinéma et artistique, lève cette pétition. Aussi, j’ai su que Polanski vivait en Suisse depuis longtemps, deux mois par année. Alors pourquoi, les autorités étasuniennes ont-elles choisi le Festival de Zurich ? De là, le tollé. J'ai appris aussi que la jeune fille avait excusé RP. Pi ?
Ailleurs, ce n’est pas tant les aveux de Letterman qui me surprennent, mais le moment d’avouer. Certes, il stoppe nette tout chantage mais à quel prix ? Selon moi, pas cher, gênant et un lucre non négligeable.
Moins grave, l’autre est un subterfuge évoqué avec humour et grand art. Simuler notre Mongrain national afin de convaincre le citoyen moyen à se rendre aux urnes du premier novembre. Dans une missive, le média favori de Mongrain impose au DGEQ de ne pas se servir de cette pub. Leur prétention, l’utilisation de Mongrain. Moi, je n’ai pas allumé sur le coup, savourant le jeu de l’acteur.
Enfin, tout cela pour vous dire que je suis susceptible plutôt que subtil.
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