lundi 29 septembre 2014

Les Potvin-Potvin / 5




Par cette automne merveilleux, j'écris sur les Potvin-Potvin avec mes souvenirs, ceux des autres et des références. Avec son livre des Laviolette, Soeur Annette illustre un passage du Québec, d'Edmonton.  Je me réfère aussi à Daniel Boulay, un regretté cousin lointain.

Mes bouts de phrases placés les uns près des autres affichent un illustre passé.  Ces paragraphes, je les dédie à mes Ancêtres, les vôtres itou.  Je dédie ces chapitres aux miens, dont la Douce Sophie, à mes deux Gars, à ma parenté toute entière de même qu'à mes ami(e)s pquistes, à notre nation, celle qui m'habite, mais gratifiant envers ceux courbés entre l'arbre et le vent.

Empreint de colère et d'impatience, Georges Dor poétise et rime comme pas un.  En 67, une montée des forces indépendantes servait de base à sa révolte du mois de janvier au mois de décembre.  J'y vois un Lévesque, encore plus un Bourgault pour une Belle au printemps... 

Après tout ce temps, le labeur des ancêtres impose la gratitude plus que la révolte.

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