Je ne veux pas tomber dans le démagogique (un discours flatteur ou appelant aux passions), mais avouons que les élu(e)s du pq favoriseraient d'autres priorités que le nationalisme d'outre-mer, je saisirais. L'Écosse a décidé ''vox populi '' de dire non à 55%. Fermons la page et puis merde.
Bien non, Bernard Drainville, Martine Ouellet, Alexandre Cloutier et d'autres personnages illustres ont beau évoquer la suite des choses d'ici et du Royaume-Uni, nous avons d'autres problèmes à régler. Regardez dans Lévis, l'élection partiel, là se situe notre démocratie.
Les deux diffuseurs principaux de l'évènement, LCN et ICI, se conjuguent pour placer à la une, en ritournelle, telle une folle kalachnikov, la nouvelle d'hier, au surplus, Écossaise. Un lavage de cerveau peut-être.
J'admets que ce qu'a vécu l'Écosse et le Royaume-Uni est important.
Pendant qu'ici le gouvernement tire le diable par la queue, Madame Ouellet dit que ça va pas trop mal ici... J'ai des ptites nouvelles pour elle. Les qquistes se gargarisent du ''imaginons si nous avions tous nos pouvoirs et l'argent qui va avec... ''. Ce serait un fiasco car déjà qu'aujourd'hui nos gouvernements successifs ont fait patate avec la santé et l'éducation, etc. Nos élus sont mêmes inaptes à prédire ce qu'un programme va coûter.
La population du Québec ou de la Belle est capable de mieux. À l'intérieur du Canada, tout est possible. À condition évidemment de tirer dans le même sens. Ça le pq en est incapable car il fera tout pour que ça marche pas dans le régime actuel.
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RépondreSupprimerD'accord 100% avec toi et le texte , Jean-guy Lapierre.
RépondreSupprimerLes PQUISSSSSSSSSSS une bande de rêveurs qui ne savent pas compter.Des déconnectés qui ne font que se chicaner entre eux. La risée mondiale que ces branleux
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