J'ai écouté le débat à RDI animé par Anne-Marie Dussault. On constate que notre sport évolue lentement en ce qui touche la sécurité, que les réticences sont multiples. Il faut ce qu'il faut pour mettre fin aux nombreuses blessures subits par les joueurs. Pour la suite, les décideurs devront se responsabiliser. Il y va de la santé des hockeyeurs à court et à long terme.
Pour mon point de vue, le voici. Il remet en cause l'affirmation suivante ; "je suis prêt à tout pour la victoire" dixit Michel Bergeron. Que de fois ai-je entendu qu'un tel a été "assommé parce qu'il avait la tête basse" et ou "dorénavant il apprendra à lever la tête", Souvent j'ai écouté des partisans dire, "tue-le", "assomme-le" ou "sors-le", comme si, au finale, la partie en dépendait.
La victoire est l'objectif finale, on s'entend. Elle vaut combien lorsque l'adversaire mène largement, domine l'autre que par un ou deux joueurs étoiles de plus ?
Vaut-elle un coup bas, une collision percutante ? Sinon à quoi bon rivaliser.
Allons et recherchons un défenseur plus gros, plus fort et pourquoi pas, instaurer l'intimidation et la peur.
Pour la loi du sport, que le meilleur l'emporte...
À mois de me dénicher un pluce gros encore, un pluce fort, un meilleur...
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