dimanche 23 octobre 2011
Santa Muerte !
J'écoutais ce matin une nouvelle intéressante. Elle attire mon attention pour mieux dresser ce constat. Beaucoup de mes contemporains n'adhèrent pas à leur longévité comme premières prémices de la vie. Non, ils affectionnent la fortune rapide. Peu importe les risques, vaut mieux gagner du fric et vite.
Au Mexique, ce constat devient pour des étudiants, la panacée. En panne d'emploi ou d'espoir, les diplômés rejoindront une sorte de culte de la mort, la Santa Muerte en effigie. C'est ainsi que la mafia s'enrichit des meilleurs candidats malgré le risque élevée de la fonction. Les adhérents menacent donc leur longévité dans cette capitale. Ils aiment mieux, pour eux et leurs proches, se garantir un confort, même relatif.
Ce qui me fait croire qu'ici aussi cela s'applique mais en d'autres circonstances. Que dire des athlètes aux prises avec des limites, s'armer d'une force musculaire accrue pour des revenus confortables voire, mirobolants ? Les derniers tests dans le monde du sport démontrent qu'un bon nombre d'athlètes sont prêts à tout ingurgiter pour du fric. Même en sachant que ce modèle en diminuait d'autant leur existence.
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Au delà du constat, il faudrait se poser la question : pourquoi ? Pourquoi le fric comme première valeur ? Surtout lorsqu'on sait qu'il remplit toujours les mêmes poches... Néanmoins je ne serais pas étonné que ce phénomène eût été grandissant ces dix dernières années.
RépondreSupprimerAlain, je vous lis de temps en temps. Parfois je suis d'accord avec vous, et d'autres non. Vous réussissez à me faire plaisir, et vous parvenez à provoquer ma colère aussi... ;) Mais force est d'admettre, et je tenez à vous l'indiquer ici, que vous écrivez fort bien ! Grég.
merci et peu importe qu'on soit en accord ou pas. ce qui m'importe est d'évoqué mes réflexions en tout premier lieu, surtout de le bien écrire et ultimement, de débattre des idées.
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