samedi 22 octobre 2011

Dictat syndical.




Nommez-les, ils ont tous la même responsabilité, en gros ; représenter et défendre leurs membres de qui ils reçoivent des cotisations (sans nuire aux autres membres d'allégeances différentes). Pour faire une histoire courte, les syndicats en reçoivent énormément des cotisations. Plus qu'il n'en faut à mon avis, afin de respecter leurs mandats.

L'affirmation que je viens de faire vient du fait qu'ils n'ont aucune obligation de présenter des états financiers vérifiés à leurs membres. Sans les connaître, comme vous, je peux présumer que les revenus perçus suffisent amplement aux luttes "prolétariennes" actuelles. On est loin ici de Laure Gaudreault, Saguenéenne d'adoption. Si vous voulez, encore loin des Michel Chartrand des années 50, aux prises avec des grèves quasi quotidiennes.

Oui, bons nombres de travailleurs de la Belle se sont associés et ainsi, ont été accrédités. Les citoyens enclins à dénigrer mur à mur l'importance de ces associations "prolétariennes" sont dans l'erreur.

Cependant, les grandes centrales, dont la FTQ , se livrent à des combats stériles et vaseux. Je dis ça parce qu'ils n'ont pas l'assentiment de l'ensemble de leurs membres. Exemple ; l'appui aux partis politiques ne devraient pas faire parti de leurs combats. C'est pourtant une option qu'ils s'arrogent pourtant, sans bases réelles. De même, les arrêts de travail improvisés sur les chantiers, un dénie aux droits des travailleurs. Chacun d'eux a le droit de gagner sa croûte.

Bref, ce billet révèle mes inquiétudes qui se rendent bien au-delà des mots utilisés. Trop d'argent circulent entre les mains de personnes qui rappellent une autre forme de syndicat. Le calcul est simple. Juste la FTQ, 600000 cotisants à la semaine, au fil des ans, sans grèves presque, c'est questionnable.

Non ?





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