Comme les temps changent.
J'ai toujours eu un adresse civique. La majorité des gens itou, en ont une. J'ai dû avec les années en cumulés une quarantaine. 1051, 170, 327, 626, 752, 585, 44 sont les chiffres qui me reviennent, vite vite. Murdock, Beaujelais, Joliette, Rachel, 3 Racine, 2 Arthur Buies, Hunt, Blough, Sydenham, Bishop, Bernard, Broadway, Bécard, Boulevard Saguenay, Hospitallières sont des noms de rue qui me viennent à l'esprit.
De même, depuis l'essor du web, j'ai eu une quinzaine d'adresses. En simultanée, une pour les choses sérieuses, une pour le social et une pour les choses disons, utiles.
Mon adhésion à Facebook, j'avoue ce profil, m'amène dans un tout autre univers. Celui de la chose publique, oui, ma vie publique ou le webastre. Contrairement à toutes mes autres résidences, cette page publie aussi ma photo, la même depuis mon adhésion.
Là, y a du vrai et beaucoup de faux. Normal, puisque l'individu réagit avec ses perceptions, sa première impression. J'affiche une image, la mienne, ponctuelle. Qu'en déduisent les "AMIS" ? Mon aveu se situe-là. Les premières impressions sont souvent fausses et dans la vie de tous les jours, c'est comme ça.
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