Le même jour, les deux maires se signalent.
L'un, à la lumière des résultats démocratiques sur l'île métropolitaine; par son ouverture et son audace. Pendant que l'autre subit, l'élection terminée, l'échec du droit pour une décision passée. Je ne suis pas notaire comme Jean, mais le juge blâme vertement l'édile municipal.
Attendons de voir comment réagira les membres du parti du maire montréalais à l'usure. Aussi, admirons ses deux audaces à l'exécutif ; Madame Thériault et Monsieur Bergeron.
Pour Jean, sa conclusion par communiqué aux médias ; le tout s'inscrit dans le respect juridique, bien qu'il soit sans remord pour sa position passée, officiellement sarcastique.
Au passage, même si Jean évoque fortement que la superficie de sa ville dépasse celle de Gérald. Faudrait-il qu'il fasse preuve d'une certaine modestie, et de cela, notre Jean du royaume, en est incapable.
Il y a un article sur Jean Tremblay dnas la Presse ce matin. C'est écrit par Yves Boisvert, le chroniqueur judiciaire.
RépondreSupprimermerci,
RépondreSupprimerPis ? T'en penses quoi ? Est-ce que c'est un point de vu défendable qu'avance Boisvert ou il est dans le gauche ?
RépondreSupprimeril vise assez juste. Cependant pour la gouverne de Boisvert, il serait mieux d'élargir sa perception.
RépondreSupprimerJe te citerai en exemple l'arrivée du maire jean tremblay (1998). Tu sais que la hiérarchie municipale était une tour lorsqu'il a fait son entrée à l'Hotel de ville. C'était ainsi quand les hauts fonctionnaires s'accaparent les rennes décisionnels.
Je crois, pour briser la tour, qu'il aura fallu user de bien des stratagèmes. Lui et son équipe, "son comité parallèle" s'installaient pour mieux consolider sa prise.
Il a fait un boulot à coup de rateau sur un tapis "shague". C'est ainsi dans bp de villes et de maires qui veulent changer cette culture copain-copain-gratte-moi-le-dos-que-je-gratte-le-tien, les primats doivent agir avec audace.
La dernière affaire est avec un groupe de citoyen dont un ami d'enfance, un fiscaliste, André Salesse. La maire a appelé ce clan la gang qui roule en Mercedes.
Ce groupe qui roule en bochars (aidé par les PQuiste du coin) ont remis en question une proposition du maire en signant les registres contre un emprunt.
Demain j'écrirai mon point de vue à ce sujet. Pour terminer ce propos, je le dis d'ailleurs à qui veut bien l'entendre. Notre Jean Royal, un catho comme moi, lorsqu'il se lève, dit à Dieu d'aller se recoucher.
A+
Pour revenir sur le dernier paragraphe, je te dirais que Jean Tremblay, pour quelqu'un qui dit à Dieu d'aller se coucher au réveil, je trouve qu'il insistait pas mal pour faire une prière publique au travail.
RépondreSupprimerIl le laisse dormir ou pas ?
un athée l'est tout le temps à moins que.....
RépondreSupprimerpour un croyant, c'est la même chose. c'est un combat tu voies.
Non je ne vois pas.
RépondreSupprimerLe message est très ambigu.
Ça veut dire quoi dire à Dieu d'aller se coucher quand on se lève si, dans les faits, on se bat pour en parler sur la place publique quand il es supposé dormir ?
Ne faudrait-il pas parler moins fort pour ne pas l'empêcher de dormir ?
C de l'hommerie, simplement. Le combat c ça. la chair est faibe.
RépondreSupprimerl'athée a aussi ses instants d'hommeries sauf qu'il a une raison de moins de se parfaire, de s'ennoblir...