L'Escouade Marteau semble tel une barque en dérive, prendre l'eau. La SQ veut bien compléter sa job de scrutage suite aux plaintes déposés. À mon avis, la structure des preneurs de jobs exige une inspection générale. Le vert de gris liés aux planchettes, aux 2 par 4, 2 par 6 et la pyrite au structure de nos ponts et nos routes. La façon de faire des constructeurs est installée depuis longtemps. Perdurer les habitudes malsaines, exigera une déconstruction suivie d'une décontamination.
Ici, nous parlons d'économie, de structure social, d'institutions gouvernementales, des travailleurs de la construction, du noire surtout, du politique, du monde syndicale et des professions etc... Tôt ou tard, l'implication des politiciens devra être bien identifié. La sortie que vient de faire le président de l'Association des Policiers Provinciaux, soulève l'étendue du problème.
La planète de l'Omerta s'agrandit de jour en jour. Le Gouvernement actuel et Jean Charrest en premier doivent agir maintenant pour l'avenir et briser le silence. Le principale donneur de jobs, c'est lui. Celui qui détient le capital, c'est mon élu, mon ministre, mon gouvernement et de plus il a les deux mains sur le volant.
Allez Jean, déclenche une commission que tout le monde souhaite, sauf quelques personnages douteux. L'hiver long est à nos portes, la pandémie plie devant la seconde vague, quoi de mieux que d'instaurer une commission. Allez du courage, de l'audace. Que dis-je, une gouvernance bordel !
Oublie ca. Notre bon peuple de frileux se remontera le col et rentrera dans le rang en entendant les dernières paroles, insipides il va sans dire, de gros Jean : "Le PQ se radicalise".
RépondreSupprimerWoouuuff ! Ca ça fait peur des "radicaux" de même.
Cibole, depuis quelques années, le PQ se ridiculise pas mal plus qu'il ne se radicalise.
Mais le bon peuple va gober les grosses lignes sans se poser trop de questions. Sans même se poser la question de ce que ça veut dire, concrètement, se radicaliser.