Je lisais grâce à un lecteur assidu deux chroniques. Celle-ci ou celle-là, peu importe, dans l’ordre ou inversement, c’est pareil. Une chose qu’ils taient, les deux billets, que le processus électoral est vieux et usé. Ce qui choque plutôt nos chroniqueurs, c’est le poids économique des grands projets, juste ça. Plus grande désolation, cette dernière donnée versus l’activité économique des régions. En admettant, que les circonscriptions soient le reflet démocratique par excellence, qu’attend-on pour obtempérer ? Blanchet, le DG des élections constate ce que tout le monde sait, nul besoin de calculatrice à répétition ou alors de papier encadré sur les murs d’un centre ville quelconque. Le constat est fait, alors subdivisons les comtés en respectant la loi électorale ; un quartier, un comté. C’est mieux ainsi ? L’un des chroniqueurs faussent la donne en comparant la voisine Ontarienne, plus populeuse ( 13 hab. km carré ) comptant 107 députés, contrairement à la Belle Province ( 5 h. ), comptant elle 125 députés. Elle exagère la Belle , oui ? Les gens de la ville saisiront sûrement que la superficie d’un comté influence le mode de représentativité. Il préfère de beaucoup la distribution fédérale, 106 vs 75. L’axe économique Québec/Montréal draine la province vers les succès qu’il connaît. Le 450 explosent pour faire d’un village d’antan, des cités denses. Les besoins de la banlieue se multiplient et les projets ne suivent pas. Conclusion ; les régions ne sont, avec la crise forestière, que des producteurs d’électricité et des travailleurs saisonniers subventionnés. Les marchés étant ce qu’ils doivent être, transférons les sommes qui vont avec, c’est pas chinois. L’imbroglio envieuse soulevée moult fois n’est uniquement attribuable aux savantes et judicieuses analyses démocratiques, mais à l’inertie électoraliste de nos gouvernants. Au fils du temps, cette rengaine marque un rigodon mesquin et inapproprié
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