dimanche 6 avril 2008
Charlton Heston décède.
La NRA vient de perdre son ambassadeur le plus prestigieux. Je me souviens encore du document de Michael Moore. CH, plus grand que nature, y apparaissait, sûr de lui et très confortable dans sa défense des droits constitutionnels. Mais mon plus vieux souvenir ira bien au-delà, en 1962 plus précisément. Le film El Cid (1961), d’Anthony Mann, racontait un duel historique et grandiose, la reprise de Valence contre les musulmans. Je l’ai visionnai lorsque j’ai été pensionnaire un dimanche après-midi juste après le repas. Par la suite j’aurai vu tous les films dont Moïse et Ben-Hur. Une de ces manifestations passent encore inaperçu. Elle pourrait rendre le personnage plus sympa, puisqu’en 1960 il prend position en faveur des droits civiques. Ses appuis sont dirigés vers les Démocrates et avec les années, il se fera Républicains. La maladie d’Alzheimer aurait-elle eu raison de, de sa raison ?
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Charlton Heston pouvait sembler dérangé un peu mais j'ajouterais que de plus en plus, Michael Moore, apparaît comme un menteur et un manipulateur.
RépondreSupprimerBowling fo Columbine, Farenheit 911 et Sicko sont parsemés allègrement de mensonges, de maanipulation des faits et de séquencement d'images qui suggèrent n'importe quoi et qui contribuent à forger des mythes qui deviennent indélogeables avec le temps.
Avec Moore, l'important n'est pas la méthode, l'analyse, le sens critique, la vérité ou la justesse et la pondération du propos. Ce qui l'intéresse, c'est de monter une belle propagande pour faire passer ses idées. Tout est bon pour la cause.
Moi, quand je regarde ses films, je les prend pour ce qu'ils sont : des documentaires humoristiques pour me divertir. Le problème, c'est que la majorité des gens y voient de l'information crédible et ne saisissent pas qu'ils se font monter des bateaux si gros qu'ils ne réalisent pas qu'ils ont été embarqués.