Céline Dion, TVA et ses ami(e)s.

J’avoue que certaine promiscuité révèle une symbiose quasi spontanée. Prenons celle réunissant la famille Péladeau à celle du clan Angélil, rien de plus naturelle, non ? L’un fait des produits culturels et l’autre, coordonne les marchés. Force est d’admettre que pour l’élite cultivée, ce genre d’accommodement, indispose. Perso, je ne les envie pas. Je dirai que je les comprends, car j’ai aussi mes facilités filiales, rien de plus naturel par chez-nous. Le mardi par exemple, je place sur le trottoir mon bac de récupe. Le soir, en revenant du boulot, s’il n’est plus là, c’est qu’un de mes voisins l’aura récupéré pour moi. Essayez-le, vous verrez, ça marche ; pourvu que de temps en temps, je rende la pareille. Ceux que ça irritent, je veux dire, cette entente utile, devraient considérer le magnétisme qu’il génère. Constatez-le vous-mêmes ; Bombardier, Bertrand, Laberge, Payette et que sais-je encore, c’est contagieux la création. Je remarque aussi que ce lien favorable, rassemble des dames, comme dans les Belles Sœurs de Tremblay, vous vous en souvenez j’espère. D’accord, elle provenait selon l’auteur d’un milieu ouvrier, puis après. D’Elles, c’est quasiment pareil. Perso, je ne l’est envie pas car les amis de mes amis sont aussi … En tous les cas, les envieux qui s’en offusquent, devraient applaudir ce potentiel énorme. Et surtout, ne pas en faire un téléroman mal scénarisé. Dans le fond, tout réside dans la méthode qualitative ; natura non facit saltus.