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Bernard Généreux, président de la FQM, lance la sempiternelle solution, la décentralisation. Cette fois elle est baptisée, l’occupation du territoire, mais ajoutez à ces deux expressions, dynamique. Ce projet pan-Québécois viendrait appuyer les efforts des différents travaux initiés par le gouvernement Charest. Ces études sont ; le rapport Pronovost en agriculture, le livre vert pour la forêt, le rapport Bouchard/Taylor, l’intégration des nouveaux arrivants, le rapport Castonguay, la santé, le rapport Gagné sur les régions ressources et le livre vert sur le patrimoine culturel. Les 7000 élus municipaux en appui à la solution dites ci-haut, se veut un vaste chantier stimulant chacune des régions.

Je veux bien de cette idée. Tout le monde est pour la vertu sauf les personnages de mauvaise foi. En exemple, les opposants aux différents rapports, mentionnés ci-haut ; ils sont multiples et leurs réactions parfois virulentes et souvent judicieuses. Parallèlement, derrière des portes closes, les gouvernements supérieurs essayent de faire avaler l’approche commune et la légitimité des premières nations. Il change les négociateurs en conservant toujours le même cap irrecevable, la rétrocession de ce territoire. Ces pourparlers touchant les régions ressources s’effectuent pourtant sur un îlot bondé de décideurs et à des kilomètres des habitants concernés. Les prérogatives de nos gouvernants, d’où qu’ils proviennent ou d’où qu’ils viennent, sont assujetties à des pouvoirs que nous leurs conférons, le temps d’un mandat. Les analyses se font nombreuses et flirtent avec des protectorats petits et égocentristes. Claude Béland tiendra en 2009, les États généraux des régions, et ce, pour mieux concerter tout ce qui a déjà été dit, redit et reredit…

http://www.solidarite-rurale.qc.ca/documents/574.aspx