Les dettes s’accumulent pour Hilary pendant que les sympathies sénatoriales se rangent du côté d’Obama. Les derniers sondages ne favorisent pas la dame bien que Lewis apprécie cette course pour tout ce qu’elle rapporte. McCain, pendant tout ce temps, élabore des stratégies afin d’atténuer les constats, comme ceux de Kerry.
Les rares voltes-faces démocrates nous montrent un Gravel toujours aussi déterminé qui se présentera à la course Liberterian du mois de mai. Ron Paul, le plus signifiant pour moi devrait y être lui aussi. Dans un autre ordre d’idée, la dérision et l’humour sont présentent dans la course et en voici un exemple, ici.
L'acharnement d'Hilary fait en sorte que la campagne s'éternise. C'est tellement long que mon intérêt est en baisse et c'est peut-être le but finalement.
RépondreSupprimerPendant que la guerre fait rage à coups de baillonettes dans les tranchées démocrates, McCain se présente en chef d'État, va faire son tour au Proche-Orient, établit sa main-mise sur l'establishment républicain et fourbit ses armes.
Celà n'augure rien de bon. Si elle a vraiment à coeur la cause de son pays et son parti, Hilary devrait faire preuve d'humilité et céder le passage.