J’avouais récemment mon penchant pour ce nouveau parti, le PI, le I étant Indépendantiste. Éric Tremblay, l’un des fondateurs de cette tendance, réitère qu’électoralement, en supposant une victoire aux scrutins, décréterait l’option Kosovo et ce, dès la prise de pouvoir. Extrapolons et scénarisons sur la suite des choses en prenant pour acquis que les autres partis auraient eu leurs parts des voix. De là, disons-nous que le PI ne disposerait que de trente pourcent de l’électorat. Peu importe, le leader du jour débuterait ses démarches d’indépendance en recevant de partout des appuis favorables ou non. Pendant ce temps, le leader inviterait le parti ministériel à terminer son mandat et aux fonctionnaires à la gestion habituelle.
En cours de processus, le Parti Québécois, Québec-Solidaire et l’aile nationaliste des tiers partis s’allieraient au gagnant de l’élection pour lui donner la pertinence souveraine. En caucus électoral d’élus, tous échafauderaient la formation d’un exécutif représentatif. Celui-ci verrait à structurer un nouveau conseil ministériel transitoire, dont le Ministère des Affaires Extérieures ; celui-ci permettrait la poursuite des affaires de l’état à l’étranger et des négociations avec le Gouvernement Canadien. Avec lui, l’exécutif mettrait sur pied le Conseil de
L’option Kosovo, pour ceux qui s’y sont intéressés, a créé un choc interne résorbé de beaucoup par les appuis onusiens, du Conseil Européen et des leaders du monde, sauf
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