Cendres et vices... /suite

Un crime ignoble presque partout en occident, il aura de côté-ci de l'Atlantique, chez la Belle du moins, fait écrire et parler.  J'ai pour l'instant, en-travers ces suites, écrit d'énormes interrogations.  Le sujet en valait la peine, car il cache tant de souffrances.

Notre culture chrétienne ne permet pas les abus sexuels, mieux, en dehors du mariage, point d'impureté. Cet interdit n'aura cependant pas empêché les crimes abjectes et autres gestes d'indécences adressés aux plus candides.

L'un des miens me sermonna un jour en plaidant pour une sexualité ouverte.  Dans son argumentaire, il ajoutait que mes interdits à l'égard de la sexualité étaient d'ordre culturelle, que j'étais un arriéré.  Il poursuivait ainsi ; le tourisme sexuel est permis dans certains états tandis qu'ici, c'est illégal !  

Voyons donc...

Ma recherche m'a entrainé vers certaines cultures permettant les mariages à partir de 6 ans.  Pire.  Dès que l'enfant est apte selon l'époux, il pourra l'utiliser pour des fins sexuels.

Voyons donc...

Je lui répliquai que notre civilisation avait évolué en considérant la pureté des Êtres.  Que ces mêmes Êtres, séduit par une rencontre, s'attendent au fait à autres choses que de la volupté.  Le réconfort durable n'est pas sexuel mais bien dans le geste amical.

J'ai approfondi cette obsession complexe qui mérite les pires châtiments ; la peine de mort en représailles ?  Ben voyons donc !

Un autre interdit de notre société civile favorisant plutôt la prison.  Certains avancent une guérison, une cure, un traitement.  D'autres, la chirurgie chimique et physique.

NB : Cendres ; de que c ?  Un simple rappel que je ne suis pas éternel, une sorte de poussière.  Si je me crois tout puissant devant toutes mes actions, j'ai espoir qu'on me le rappellera ou m'enfermera.