Je parle des Saguenéens de Chicoutimi bien entendu. Beaucoup de mes concitoyens se réjouissent du fait que les gestionnaires du club conservent le nom Chicoutimi dans son appellation. Moi, j'aime bien, et je dis ça comme ça, juste en passant. Oublions cette aspect et allons directement à ce camp.
Un ; le nouveau coach avec une approche différente, du moins on le suppose. Bosch voudra certainement établir son autorité leadership dès le départ. Il l'a dit dès son engagement, «j'ai un bon groupe en main...» Il a aussi dit, «je n'aime pas les demies mesures...» Voilà qui dresse un portrait assez révélateur de ce que nous aurons cette saison.
Deux ; les jeunes arrivent au camp en grande forme. À notre époque, les équipes organisées contribuent à ce phénomène de mise en forme. Dès leurs débuts, les hockeyeurs sont prévenus de ce fait. Ce n'est pas comme naguère, quarante ans, genre. Personne ne parle de la confiance, c'est pourtant un facteur primordial. Ça demeure aussi important que l'aspect physique.
Trois ; je crois qu'on a deux euros de qualité, une rareté chez les Bleus. J'ignore le montant investi mais la patience est de mise. Marc Fortier le spécifiait dès le repêchage ; temps d'adaptation. Liamkin a un bon potentiel à en croire sa prestation lors du tournoi qui se terminait hier, le Ivan Hlinka. Tant qu'à Janne Puhakka, le finlandais, on pourra le confondre avec un Hudon, mais en plus rapide.
Quatre ; Billia sera notre partant et sa prestation lors du Ivan Hlinka confirme la réputation Bleue, une tradition presque, un gardien dominant.
Cinq ; des échanges sont à prévoir et qui sait, des éléments indésirables partiront. Je serais heureux de voir arriver un défenseur physique et un avant imposant, une pénurie chez les Sags. Un certain Dauda apparait sur la liste des invités, de même que Déragon, Brubacher, Luc Eagle, Kevin Gergely. Une surprise inattendue ? On ne sait jamais.
Bon camp à tous !
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