Dans ma vie au quotidien, je n'obéis pas facilement. Rebelle, j'ai tendance à la riposte. En même temps, je et ne dois pas obéir à tout. Sauf quand la consigne est connue. Les conventions sociales, ça m'va.
Non, comme lorsque je joue aux échecs. Je reconnais les pièces. La stratégie, c'est plus complexe. Je bâcle dû aux tdh probablement. Et puis, je me résigne face à la défaite. Mes rares victoires, je m'enorgueillis puis oublie. À ce jeu, je retiendrai les bons coups et par dessus tout, je respecterai la règle.
Notre société confortable n'inflige pas l'esclavage quand même. Voir la malédiction comme dans certain pays, ça me décoiffe. J'écoute comme vous les news du jour. Nous sommes tous renversés par ce que nous voyons. Prenez le Maghreb, le petit ou le grand, ça se ressemble étrangement.
Leurs manifs sanglantes donnent des résultats courts termes. Peu de stabilité en fait. Non, les zones grises laissent toute la place à du noir et du blanc. Les gens me semblent excessivement violents. Les morts ne se comptent plus. Si je manquais de bouffe, je serais comme eux. Vous aussi voyons.
«La vie est un jeu.»
Je l'entends souvent celle-là. Si s'en étais un, je choisirais le jacquet à cause des dés colorés.
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