Notre première Première Ministre(pPM), comme elle l’a déjà dit ; “ j’ai mis 35 ans pour me préparer “.
Ceci dit, je serai direct et sans détour.
Lors de son discours au soir de la victoire mitigée, j’ai de suite été dépité tant qu’aux excès trop coutumier de la Dame. Au lieu de se fier au policier, non elle revient sur scène comme si rien ne s’était passé. Pourtant, Elle ne pouvait être assuré de la bonne suite de l’évènement.
Le 18 septembre, Madame Marois annonce son Conseil des Ministres. Elle nomme Monsieur Breton à l’environnement même en connaissant le passé désinvolte de sa recrue. N'avait-elle pas dit zéro concession tant qu'à l'éthique ? Avant que cela n’explose, Elle sait que son ministre est allé sermonner les employés du BAPE.
C'est quoi là ? Il aura eu le temps de limoger Pierre Renaud.
Les nominations étriquées de Nicolas Girard et d’André Boisclair réitèrent encore une fois le jugement trop simpliste de la pPM. Réalisons tout de même les coûts que cela entrainent. On vient de nommer un conseiller spécial au PDG d’AMT. Constatons, Elle coiffe et décoiffe comme en salle d’essayage du costumier d’un autre parti.
Le budget de son ministre, un pro forma qui ne passerait pas à la petite Caisse d’un village mal avisé. Il n’était pas écrit, qu’il révélait toutes les faiblesses d’un gouvernement sans calculette. Les observateurs, j'ignore encore pourquoi, n’ont pas encore raturé les incongruités prévisionnels des revenus. Au surplus, Elle négligera toutes les promesses de ce pourquoi Elle et ses acolytes ont été élus.
Les mauvaises décisions sont si nombreuses qu’on ne peut toutes les énumérer, quand même. La langue, Gentilly2, la Région de Trois-Rivières coiffée, puis décoiffée, etc…
Je suis franchement étonné par la complaisance de la Radio-Canada, d'une complaisance vicieuse.
Vite 2013, qu’on refasse nos devoirs de citoyens…
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