lundi 10 décembre 2012

Jean Tremblay




Ce maire de Saguenay ne laisse personne indifférent. Ses propos deviennent des slogans pour ses adversaires, la risée même. Pour ses amis, il en a assurément, rare viendront-ils à sa défense. C’est comme ça. Avouons, quand même, que les sujets qu’il aborde sont aujourd’hui tabous.

Pour ma part, plusieurs de ses positions politiques m’ont dérangés. Je l’ai dit, écrit en proposant d’autres alternatives. J’en ai conclue qu’elles étaient peu attrayantes, voilà. Constatez, ses opposants proposent très peu de choses intéressants une majorité de citoyens.

Sa domination au Conseil de Ville n’est pas nécessairement malsaine.
Ceux que ça choque devraient plutôt souligner son leadership. Vous savez, pour administrer une cité moderne, il en faut. Je perçois dans ce portrait, toute la responsabilité qu’incombe aux maires de nos villes au Québec.

Espérez un putsch !

Ses opposants ont, jusqu’à présent, démontré comment conduire un train de citoyens, presque déserté. Échaffauder toute une organisation, politiquement crédible, ce n’est pas une partie de plaisir. Une des premières règles, savoir rassembler.

S’il agit de manière personnel, Jean Tremblay, de son personage, je le critiquerai tout autant. Son dernier micro ne m’offusque pas. Il continue sa croisade s’en se cacher, au contraire, il claironne à même le train déserté, celui de ses réels opposants.

Pour conclure, les Lavals de ce petit monde peuvent bien critiquer. De leurs propres chefs, ils affichent bien haut leurs oppositions. C’est courageux, pi ? Pour ceux qui blâment sempiternellement, je leurs suggérerais autres choses ; agissez bordel de merde.

Intéressez-nous à votre train !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire